Nicole Scherzinger a bien fait, malgré la météo peu complice, de profiter sans attendre de son retour dans la Ville Lumière pour aller saluer la Dame de fer : son séjour risque d'être écourté par l'élimination prématurée de son compagnon Grigor Dimitrov, dès le premier tour des Internationaux de France de Roland-Garros.
"C'est bon d'être de retour à Paris", écrivait samedi la très glamour chanteuse en légende d'une photo Instagram pendant une balade en voiture au pied de la Tour Eiffel, avant de poser fièrement devant. Son petit ami, en revanche, a certainement moins goûté sa venue dans la capitale française : après une saison 2015 très délicate et un début d'année 2016 qui l'a vu dramatiquement retomber au-delà du 30e rang mondial, le calvaire de Grigor Dimitrov continue... Malgré quelques éclairs de génie qui ont fugacement rappelé son immense potentiel, le grand Bulgare de 25 ans, ex-boyfriend de Maria Sharapova, s'est incliné dès son entrée en lice lundi 23 mai contre l'expérimenté Viktor Troicki (30 ans, 24e mondial), en cinq sets, sous le regard stoïque, caché derrière des lunettes de soleil, de l'ancienne Pussycat Doll. Sa troisième défaite d'affilée au premier tour à Roland-Garros, après avoir connu le même sort lors des Masters de Madrid et de Rome sur la route de Paris. Pas sûr qu'il soit d'humeur romantique, tant pis pour Nicole...
Le moral était en revanche au beau fixe du côté de Tim Roth. Déjà présent dimanche parmi les people lors de la première journée du tableau final de Roland-Garros, contrariée et écourtée par la pluie, l'Anglais, acteur fétiche de Quentin Tarantino (dernièrement dans Les Huit Salopards), ne s'est pas laissé dissuader par les éléments et était de retour lundi. En couple, même, et en toute tendresse. C'est en effet en compagnie de Nikki, sa femme depuis 1993 et la mère de leurs fils Timothy et Michael, que Tim Roth a pu apprécier la suite du premier tour, marquée notamment par la grosse frayeur de Stan Wawrinka, tenant du titre qui a frôlé la catastrophe contre Lukas Rosol, dont il s'est défait avec toutes les peines du monde en cinq manches, et celle d'Andy Murray, dont le match contre l'impertinent et malicieux Radek Stepanek a été interrompu après qu'il eut perdu les deux premiers sets et entamé une remontée... Dans la grisaille parisienne, l'interprète à la télévision du brillant et agaçant docteur Cal Lightman dans la série Lie to Me est apparu très prévenant envers son épouse, la rhabillant pour lui éviter de prendre froid.
Parmi les autres personnalités que le ciel menaçant n'avaient pas rebuté, on pouvait remarquer lundi à Roland-Garros la belle Inés Sastre, le comédien Jean-Baptiste Maunier, le journaliste Jean-Claude Narcy, Raymond Domenech, Gonzague Saint Bris, Raphaël Mezrahi ou encore le gardien de foot du PSG Nicolas Douchez.
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