






Depuis plusieurs saisons de Quotidien sur TMC, Ambre Chalumeau nous parle ciné, livre, expo... Des chroniques bien installées dans l'émission. Mais voilà qu'elle est passée de l'autre côté du miroir puisqu'elle sort son premier livre, Les Vivants, chez Stock roman. Un ouvrage qui a été lu par Antoine de Caunes, lequel a tenu à rendre hommage au travaille de la jeune femme sur Instagram.
"Pour la connaître depuis qu’elle est sur terre, je sais à quel point cette jeune femme est pétrie d’intelligence et d’esprit mais il y a toujours un pas de l’oral à l’écrit. Celui qu’elle franchit avec la grâce d’une ballerine du Bolchoï dans ce premier roman au talent indécent. C’est une petite merveille vibrante de sensibilité et d’humour, portrait en creux d’une génération à laquelle elle me fait presque regretter de ne pas appartenir. Chapeau bas, jeune artiste", a-t-il écrit. Mais comment Antoine de Caunes, 71 ans, peut-il connaître la chroniqueuse de 27 ans ?
Antoine de Caunes connaît Ambre depuis sa plus tendre enfance car il est très proche du père de cette dernière. Antoine de Caunes et Laurent Chalumeau sont en effet amis depuis plus de 40 ans. Pendant cinq ans, c'est ce dernier qui a fourni chaque jour le texte du personnage qu'interprétait Antoine de Caunes à la fin de Nulle part ailleurs. Laurent Chalumeau a aussi participé à l'écriture du film Les Morsures de l'aube (2001) par Antoine de Caunes. A l'inverse, l'animateur avait lu au théâtre, en 2011, les textes de Laurent pour la pièce Un mec sympa. Un lien subsiste aussi entre Antoine de Caunes et la mère d'Ambre Chalumeau. Arielle Saracco, a en effet été ancienne directrice de la création originale de Canal+.
Dans le livre d'Ambre Chalumeau, il s'agit de l'histoire de Simon qui, à cause d'un mystérieux virus, tombe dans le coma. C'est la sidération mais il faut continuer à vivre, à rester un vivant justement. Un cas de figure que la chroniqueuse de Quotidien a réellement vécu pendant sa jeunesse. "J'ai 17 ans. Mon meilleur pote tombe dans le coma, je rentre en prépa, tous mes repères volent en éclats. Au début d’un drame, tout est vraiment insolent. On aimerait avoir une carte à jouer dans sa vie pour dire : s’il vous plaît, plus de son, plus de couleur ! Mais, non, la vie s’en fout et poursuit son cours", explique-t-elle dans le dernier numéro de La Tribune du dimanche. Une épreuve lors de laquelle elle a pu compter sur le soutien de ses proches.