Audrey Fleurot franchit une nouvelle étape avec son compagnon Djibril Glissant

Amoureuse de Djibril Glissant depuis de nombreuses années, Audrey Fleurot a donné naissance à leur fils en 2015, un garçon prénommé Lou qui fêtera son 10ème anniversaire en novembre prochain. À la tête d'une famille recomposée avec son compagnon (il a deux enfants nés d'une précédente union), la comédienne qui a été remarquée dans le film Intouchables mais aussi dans les séries Kaamelott, Engrenages et Un village français, s'apprête à franchir une nouvelle étape dans sa relation amoureuse.

Fusionnel, le couple a en effet décidé de collaborer sur le prochain grand projet de l'actrice, La Comtesse de Monte-Cristo, dont le tournage devrait démarrer en septembre 2025. Des informations révélées par nos confrères de Public qui ajoutent également que les amoureux ont "monté ensemble une société de production, Bahia Blanca, présidée par Djibril". 

Interviewée par Télé Magazine en 2024, Audrey Fleurot avait déjà évoqué sa collaboration avec Djibril (il a réalisé plusieurs épisodes de la série HPI dont elle est l'héroïne) : "Cela nous a permis de nous voir, ce qui est quand même pas mal ! L'avoir pour la dernière ligne droite, quand on commence à fatiguer et à avoir le blues de chez soi, ça redynamise".

Par contre, s'il y a bien un projet qu'Audrey Fleurot ne souhaite pas pour son couple, c'est le mariage. "Le mariage ne m’attire pas. Je n’ai pas vu d’exemple concluant autour de moi. Je n’ai pas le fantasme de la princesse d’un jour, de la fête, de la belle robe (...) Ça empiète souvent sur six mois d’une vie. Les préparatifs, l’angoisse de la bonne météo le jour J, le stress de l’organisation… Et tout ça pour quoi ? Je ne sais pas", avait-elle avoué dans les colonnes de Gala, en 2019.

Un couple qui se soutient dans tous les domaines notamment lorsque l'actrice a perdu son papa, en décembre dernier. Sur le plateau de Quelle époque ! le 21 décembre 2024, elle racontait comment son père avait d'ailleurs inspiré sa future carrière dans le cinéma. "Mon père était pompier de Paris à l’époque où il y avait des pompiers de garde (...) à la Comédie française. Régulièrement, il était de garde et je pense qu’un soir ma mère lui a dit ’emmène la gamine'. À la fois, je vois le spectacle de la salle et à la fois l’envers du décor (...) Et je me dis, c’est ça que je veux faire", avait-elle confié, très émue. Nul doute que Djibril l'a soutenue dans cette douloureuse épreuve.