Plusieurs choses ont été dites ces dernières heures en ce qui concerne l'état de santé de Didier Barbelivien. Celui qui a composé plus de deux mille cinq cents chansons depuis 1976, notamment plusieurs pour Gilbert Montagné n'irait pas bien du tout, serait placé en soins intensifs et souffrirait notamment d’un pneumothorax, une affection grave de la plèvre pouvant provoquer un effondrement partiel ou total d’un poumon.
Mais ce vendredi 6 juin, une story Instagram a été publiée avec son compte, par une femme prénommée Marguerite, qui explique être la personne qui "gère les réseaux sociaux" de l'artiste. Elle a indiqué que "contrairement aux rumeurs en ligne, Didier va très bien".
"Il m'a demandé de vous le faire savoir, car il ne s'occupe pas lui-même de ses réseaux", a-t-elle ajouté.
Selon nos informations, provenant de l'épouse de Didier Barbelivien, Laure Bernardini (la mère de ses jumelles Lola et Louise), il va effectivement "très bien" et a simplement fait de l'asthme à cause des arbres de leur maison de campagne. Ils sont allés voir mercredi dernier un médecin à l'Hôpital américain de Paris (Neuilly-sur-Seine) et il s'est avéré que le célèbre compositeur n'a rien du tout. Juste une crise d'asthme allergique. D'ailleurs, ce vendredi 6 juin, il déjeunait au restaurant avec un ami et était en pleine forme...
Aux dernières nouvelles, Didier Barbelivien se rend chaque week-end dans sa charmante demeure à Montfort-l'Amaury, dans les Yvelines, "pour échapper au tumulte parisien". C'est ce qu'écrivaient nos confrères du Journal de la Maison en 2024. Au sein de sa demeure paisible, il a quelques habitudes, notamment celle de préparer des repas réconfortants pour lui et sa famille, à l'instar du traditionnel pot-au-feu." On apprenait également qu'il serait également conseiller municipal, là-bas.
Il s'agirait d'une résidence secondaire, car il est sinon installé en plein Paris, dans le très chic 8e arrondissement, avec une vue plongeante sur le Parc Monceau, Didier Barbelivien est un pur produit parisien. Après une prime jeunesse dans le quartier Oberkampf, c’est aux Batignolles (17e arrondissement) qu’il laissait pousser ses cheveux et ses inspirations déjà très portées sur l’artistique. "Le lundi matin, j’étais le gamin qui finissait sa nuit dans le métro. Je faisais mes devoirs après le film du dimanche soir. Ma grand-mère était permissive et j’ai trouvé que c’était bien. J’ai toujours placé la liberté au-dessus de tout", se souvenait-il en interview.
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