Aperçu il y a quelques jours en famille dans la Royal Box du court central de Wimbledon pour assister à la finale de l'édition 2025 de ce mythique tournoi de tennis, opposant Carlos Alcaraz à Jannik Sinner (Victoire pour l'Italien, qui prend sa revanche après sa finale perdue contre l'Espagnol en juin dernier à Roland-Garros), le prince George célèbre aujourd'hui ses 12 ans, déjà. L'occasion de rappeler qu'il est le futur héritier du trône. En effet, il deviendra roi d'Angleterre juste après son père, le prince William.
En attendant, il doit progressivement se préparer à ses futures fonctions, en comprendre les codes et les responsabilités. Et il pourrait en ce sens être notamment amené cet été à effectuer un rituel ancestral assez controversé. Une tradition que certains qualifient de "macabre" selon le biographe Duncan Larcombe.
Il est question, comme le précise Vanity Fair, d'accompagner son père à une chasse au cerf lors de leur visite au domaine de Balmoral, avant que le sang de la première proie soit répandu sur son visage. Le Palais a refusé de commenter les allégations selon lesquelles le prince George sera initié à l’une des traditions royales les plus macabres cet été.
Et de toute manière, sa mère, Kate Middleton, est fermement opposée à cette coutume, depuis toujours. Pour elle, hors de question que son fils aîné prenne part à cette "saignée". Comme l'indiquait Tom Quinn dans son livre Yes, Ma’am : The Secret Life of Royal Servants, "La belle-fille de Charles, Catherine, princesse de Galles, a insisté sur le fait qu’il n’y aurait pas de sang sur ses enfants."
On peut ainsi espérer que le prince George échappera à cette pratique ancestrale. Ce qui ne fut pas le cas de son oncle, le prince Harry, qui lui garde un souvenir glaçant de ce moment où un chasseur a enfoncé sa tête dans la carcasse d’un animal. "J’ai été choqué par sa force insensée et par l’odeur infernale. Mon petit-déjeuner m’a sauté de l’estomac", se rappelait-il, dans ses mémoires.