Si Léa Seydoux est incontournable dans le milieu du cinéma, elle est aussi une formidable gravure de mode. Ces dernières années, la comédienne, qui s'est illustrée dans la deuxième partie de Dune en 2024, s'est montrée de nombreux défilés Louis Vuitton, mais aussi du côté de chez Louboutin et Dior. Et à chaque fois, c'est un événement. Mais pendant longtemps, c'est bel et bien Prada qui avait la préférence de Léa Seydoux. Selon Glitz, un contrat fructueux liait d'ailleurs l'actrice à la célèbre marque de luxe milanaise, fondée en 1913 par les frères Prada. Ce média d'investigation, consacré à l'industrie du luxe, a d'ailleurs révélé la teneur de l'accord, que Léa Seydoux aurait signé en 2014 avec Prada...
Ce contrat indiquait, rapporte Glitz, que la petite-fille de l'homme d'affaires et producteur de cinéma Jérôme Seydoux était chargée de faire la promotion du groupe italien, lorsqu'elle participait à des événements, dans le cadre de son métier de comédienne, en 2015 et en 2016. La maison Prada avait, par ailleurs, à l'époque, son accord pour que l'image de l'actrice soit utilisée, dans le cadre de la promotion de ses produits, indique le site d'actualité. Mais surtout, ce média d'investigation révèle les sommes qui ont été versées à Léa Seydoux.
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Pour s'offrir les services de la star de Mourir peut attendre, Prada a dû débourser un sacré pactole, si l'on en croit les révélations de Glitz : Léa Seydoux aurait touché 877.500 euros en 2015, et 292.500 euros en 2016, indique ce média, lancé au mois de septembre 2022 en pleine Fashion Week de Paris. Glitz a pioché ces chiffres dans un jugement qui a été rendu, dernièrement, par le tribunal administratif de Paris. La justice devait en effet se prononcer sur un désaccord entre la comédienne de 40 ans et la DNVSF, la Direction nationale des vérifications de situations fiscales : Léa Seydoux assurait que les rémunérations prévues par le contrat qui la liait à Prada n'étaient rien d'autre que des salaires, "ce qui lui aurait permis de payer moins d'impôts en France", indique Glitz. Mais le tribunal administratif de Paris lui a donné tort, assurant que ces sommes étaient bel et bien des revenus artistiques.
En 2014, trois ans après avoir été choisie par la marque pour la promotion de son parfum Candy, dans une publicité réalisée par Jean-Paul Goude, Léa Seydoux avait dit tout le bien qu'elle pensait de Prada, dans les colonnes du Vogue britannique. "Prada est une marque que j'affectionne particulièrement, expliquait la comédienne. Je suis très honorée qu'ils m'aient choisie pour incarner Prada Candy, car je me sens très proche de l'esprit de la maison." A l'époque, Léa Seydoux avait assuré qu'elle appréciait "profondément tous les parfums Candy, car ils sont pleins de personnalité et d'originalité". "Je les adore car ils dégagent une certaine joie et une forte personnalité, tout comme moi", indiquait la star du cinéma français.
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