Madonna est dans la tourmente ! Heureusement, Jesus Luz la soutient... de très près !

Madonna était hier l'invitée chic de José Serra, le gouverneur de Sao Paulo, au Bandeirantes Palace, sa résidence officielle. Après avoir longuement échangé avec lui, notamment concernant d'éventuels investissements qu'elle pourrait faire dans des projets sociaux de la région, la chanteuse a décompressé avec des amis, et pas n'importe lesquels.

Alors qu'il se murmure que le séduisant Jesus Luz, jeune mannequin brésilien de 23 ans, ne serait plus son boyfriend (elle fréquenterait un mannequin de 24 ans baptisé Jon Kortajarena), elle a tout de même passé la soirée avec lui.

Celle qui sera reçue les 14 et 15 février prochains par le gouverneur de Rio de Janeiro Serge Cabral, semblait, au début, être le chaperon du top et de ses amis. Assise dans un coin, la star de 51 ans, maman de Lourdes, 13 ans, Rocco, 9 ans, David et Mercy, 4 ans, semblait retirée, loin de la joie et la bonne humeur dans lesquelles se trouvaient Jesus (torse nu !) et ses amis. Mais son coup de mou n'a duré qu'un temps puisque, prise d'une folle envie de rapprochement, elle a été photographiée en train d'embrasser à pleine bouche le magnifique mannequin.

Une fois la soirée bien avancée, la chanteuse a rapatrié son protégé à son hôtel, comme vous pouvez le voir ici. So cute !

Madonna, qui fréquente le jeune homme depuis de longs mois, est donc encore avec lui. Tout va bien dans le meilleur des mondes côté coeur !

Cependant, côté humanitaire, rien ne va plus. Elle vient d'apprendre par les autorités malawites que les habitants du village dans lequel elle a mis en place un projet d'école, réclamaient plus d'argent pour avoir cédé leurs maisons, jardins et vergers.
Alors qu'ils ont été dédommagés par la fondation de la star à hauteur de 360 000 euros, ils viennent de bloquer la construction tant qu'ils ne recevraient pas une somme plus conséquente. Un responsable de la fondation Raising Malawi a estimé qu'ils avaient touché "une compensation généreuse". Suite à leur grabuge, ils ont donc été expulsés par les forces de l'ordre. L'école devrait être achevée d'ici deux ans, si des conflits comme ce dernier ne retardent pas la construction. Elle accueillera 500 filles.