"Je croyais que c'était un paquet de chewing-gum" a déclaré, sans se démonter, Paris Hilton, à l'inspecteur qui l'interrogeait sur le contenu de son sac à main et la découverte, dans celui-ci, de 0,8 gramme de cocaïne dans du papier alu.
Outre 1.300 dollars en liquide, quelques cartes de crédit, des feuilles de papier à cigarettes pour rouler des joints, des cachets d'Albutérol..., la riche héritière a affirmé, au départ, que ce n'était pas son sac, avant de reconnaître en être la propriétaire. Évidemment, les 0,8 gramme de cocaïne ne lui appartiennent pas, a-t-elle affirmé, "Quelqu'un a dû me le glisser dedans". Ben voyons !
Paris Hilton avait été arrêtée, vendredi dernier, peu avant minuit, sur un boulevard de Las Vegas en compagnie de son nouveau boyfriend Cy Waits, roi de la nuit à Las Vegas. Cet été, le couple a fait beaucoup parler de lui du côté de Saint-Tropez. Les policiers qui ont procédé à l'interpellation, ont pu constater qu'une forte odeur de marijuana sortait du véhicule.
Les amants terribles ont eu droit à leur portrait officiel de police, ou "mugshot", que l'on vous a fait découvrir hier. Encore une fois, même devant les forces de l'ordre, Hilton a trouvé le moyen d'avoir le sens de la pose.
Rappelons qu'elle a déjà eu des problémes de "fumette" en Afrique du Sud et qu'elle avait été interpellée en Corse ce été avec encore de l'herbe sur elle et qu'elle est aujourd'hui fichée en France comme consommatrice... ça fait beaucoup pour une innocente !
La justice du Névada n'est pas celle de Californie, Paris Hilton peut espérer, une nouvelle fois, échapper à la prison. Son avocat, le ténor du barreau David Chesnoff - qui a notamment travaillé pour David Copperfield - fera tout pour la défendre dans ce sens là. Un citoyen lambda, pour les mêmes faits, se voit condamner entre un et quatre ans d'emprisonnement.
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