Pascal Praud dévoile le montant très confortable de son dernier salaire à TF1

S’il y a un journaliste qui fait parler de lui, c’est bien Pascal Praud. La figure emblématique de CNews et Europe 1 n’a pas sa langue dans sa poche et n’hésite pas à exprimer son avis lorsqu’un sujet ou quelqu’un lui déplait. Récemment, c’est Vincent Meslet qui a fait les frais de son franc parler. "Après son interview, ou il démissionne, ou il est viré (…) Vincent Meslet doit être viré. Vous avez un dirigeant du service public payé par nos impôts qui attaque directement CNews, un de ses concurrents, en disant ‘C’est nos pires adversaires’", avait-il déclaré dans son émission L’Heure des Pros. En effet, le directeur éditorial de Radio France avait décrit CNews et Europe 1 comme étant les "pires adversaires" des médias du service public et "des médias militants d’obsession", lors d’une interview accordée au Parisien.

Mais avant de devenir le présentateur vedette des médias du groupe Bolloré, Pascal Praud a officié pendant de nombreuses années en tant que journaliste sportif sur TF1. De 1988 et 2008, le papa de Morgane, Tiphaine, Faustine et Lou-Elise était aux manettes de l’émission Téléfoot et couvrait des retransmissions de rencontres de football. Interrogé par notre confrère de L’Équipe Sébastien Tarrago, il s’est montré complètement transparent sur sa rémunération à l’époque. "Je me souviens que mon dernier salaire, c’était 9000 euros", a-t-il révélé avant de se rappeler être parti avec "un gros chèque" fort de ses 20 ans d’ancienneté.

Et si Pascal Praud a connu une ascension fulgurante depuis ses années chez TF1, c’est en partie grâce à Léa Salamé. Dans le numéro de ELLE paru le 25 septembre dernier, la compagne de Raphaël Glucksmann a confié qu’au début des années 2010, c’est elle qui avait donné élan à la carrière de Pascal Praud avec qui elle travaillait sur i-Télé. "Je l'ai rencontré il y a dix ans, il couvrait le sport. On discutait énormément, c'était un collègue que j'aimais bien, très cultivé, il m'offrait des bouquins de Stefan Zweig. Il n'est pas celui que vous voyez sur CNews !, s'est souvenue la présentatrice du JT de France 2. Il s'ennuyait au sport, il disait que son rêve c'était d'animer des débats. En partant, j'ai effectivement suggéré son nom à la direction, et ce fut le début de son ascension."