Rebecca Hampton victime de body shaming : réponse en photo avec humour

À l'origine, les réseaux sociaux sont un bon moyen pour les personnalités de partager leur quotidien ou leurs projets. Mais certains internautes les détournent en s'amusant à faire des critiques à tout va en commentaire de photos ou de vidéos. Des commentaires négatifs qui ont le don d'agacer les stars. Mais parfois, elles préfèrent y répondre avec humour. C'est le cas de Rebecca Hampton, le 28 septembre 2020.

L'interprète de Céline Frémont dans Plus belle la vie s'est en effet saisie de son compte Instagram pour adresser un message aux personnes qui lui reprochaient d'être trop mince. La belle blonde de 47 ans a dévoilé une photo sur laquelle l'arrière de son corps est face à l'objectif, tout comme son visage. Rebecca Hampton tire la langue et pointe du doigt son postérieur sur lequel il est écrit : "Trop grosse, trop maigre, trop grande, trop petite, mouais, nulle, bof." En légende, elle a précisé : "Stop au body shaming ! Vous avez vu tout ce que je peux écrire dessus ! Y a de la place ! Bon lundi à tous !"

Son initiative a été saluée par ses fans. Nombreux sont ceux qui l'ont une fois de plus soutenue face aux critiques et ont regretté que certains se permettent des commentaires sur le physique des autres.

C'est le 20 septembre dernier que Rebecca Hampton a été attaquée pour la dernière fois. Alors qu'elle apparaissait simplement de dos, vêtue d'un short en jean et d'un débardeur noir. pour faire savoir qu'elle révisait son texte pour la pièce de théâtre Panique au ministère, l'épouse de François-Xavier a été jugée trop maigre par certains internautes. Lassée et en colère, elle leur avait donc répondu : "Stop au body shaming, c'est gonflant !!!!!" Des fans ont tenté de la défendre en supposant que sa fine silhouette pouvait avoir un rapport avec un problème de santé. "Non, mais je vous rassure je vais très bien, je suis en pleine forme... c'est 'gentil' de vous inquiéter de ma santé... je vieillis, les loulous, c'est tout... c'est la vie qui veut ça...", avait-elle lancé pour clore le débat.