Une icône de la chanson française obligée de vendre sa maison du Ve arrondissement de Paris pour des raisons financières

Ils ne sont pas nombreux à posséder des maisons en plein Paris et seuls quelques privilégiés ont cette chance, à l’image d’Hervé Vilard, le célèbre chanteur, qui s’est fait connaître en 1965 avec son célèbre tube, Capri c’est fini. Après ses débuts en fanfare, le célèbre chanteur a enchaîné les tubes de Nous à Reviens en passant par Méditerranéenne pour devenir un artiste très apprécié des Français. Un chanteur dont la vie sentimentale reste un mystère avec les hommes, lui qui a été un des premiers artistes à avoir parlé de son attirance pour les hommes publiquement. “Moi j'avais beau leur dire que j'étais homosexuel, ils ne voulaient pas en entendre parler (...) Jamais Salut les copains n'a repris l'affaire. On ne voulait pas entendre parler de ce genre de choses, ce n'était pas dans les mœurs de l'époque. C'était comme ça. Tout ça, c'était très compartimenté”, expliquait-il dans le documentaire Chroniques de l'âge tendre en 2022.

S’il a de nombreux tubes à son actif, Hervé Vilard a décidé de faire ses adieux à la scène en 2018 et s’il continue de se produire sur scène ponctuellement, il se fait bien plus discret depuis plusieurs années maintenant. Pourtant, dans le dernier numéro de France Dimanche, paru ce vendredi 2 mai, le chanteur, retiré à sa mère et orphelin de père, fait parler de lui, mais il ne s’agit pas d’un retour surprise à la chanson. D’après leurs informations, ce dernier “serait en proie depuis un certain temps à des difficultés financières” qui d’après nos confrères “l’obligeraient, la mort dans l’âme, à mettre en vente la maison parisienne qu’il possède depuis des années”.

Une bien triste nouvelle pour l’artiste, dont l’amour de jeunesse est morte alors qu'elle était enceinte de lui, d’autant plus qu’il est installé dans une propriété particulièrement attrayante. Un “ravissant havre de paix situé dans le Ve arrondissement, au cœur d’un quartier typique de la capitale où il fait bon vivre (...) adoré des touristes du monde entier…”, comme le définit France Dimanche.

Un gros coup dur pour Hervé Vilard qui pourrait malgré tout “tirer un bon prix de ce bien immobilier”, comme l'affirment nos confrères, mais sera certainement peiné de devoir se séparer d’une maison dans laquelle il vit depuis plusieurs années.