VIDEO Disparition de Lina : "Je ne peux pas laisser faire, Tao souffre"... sa maman, en pleurs, défend son petit-ami

Invitée dans l'émission Chroniques Criminelles diffusée samedi 18 novembre 2023, la maman de Lina, Fanny, a été interviewée par les journalistes de TFX. Effondrée, elle a beaucoup de mal à gérer la disparition de sa fille âgée de 15 ans survenue le 23 septembre 2023, en fin de matinée, alors qu'elle se rendait à pied à la gare de Saint-Blaise-la-Roche à trois kilomètres de chez elle.

"Il faut qu'elle revienne, il faut que je l'aie dans mes bras. Il faut qu'elle soit là, je veux ma fille. Je ne peux pas vivre sans elle", a-t-elle révélé, en sanglots. Désespérée de ne plus avoir sa précieuse fille, elle ajoute : "Elle était tellement heureuse. Des rires, de la gaieté, de l'amour, c'était vraiment agréable. La veille au soir, on avait mangé tous les trois, on avait ri à table (...) Il faut qu'on soit, à nouveau, heureux tous ensemble. Je ne supporte pas cette absence."

Présentée comme une adolescente sérieuse, équilibrée et très entourée par ses amis, Lina était scolarisée dans un lycée professionnel de la région et n'était pas du tout du genre à prendre des risques pour sa vie, selon sa maman : "Elle peut pousser les limites mais elle écoute."

Concernant les doutes émis sur son petit-ami Tao, Fanny est catégorique. Son beau-fils est innocent. "J'entends tout et n'importe quoi. Des choses qui sont absolument fausses. Quand les gens se permettent de dire des choses méchantes, c'est blessant. On voit vraiment passer des choses horribles sur les réseaux sociaux. Il y a des paroles ignobles. De la méchanceté pure. Ce n'est plus possible en fait. Je ne peux pas laisser faire car Tao souffre", a-t-elle déclaré face à la journaliste de TFX.

Regrettant que Tao ait déjà reçu des messages "qu'on ne souhaiterait à personne", la maman de Lina a appelé à la bienveillance envers le jeune homme qui n'était selon elle "même pas dans le secteur au moment des faits".

Pour rappel, une enquête pour "enlèvement et séquestration" est actuellement menée par les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Strasbourg. Celle-ci n'a pour le moment donné aucun résultat concluant.