Séducteur, charmeur, dragueur... Avec ses films, il semble que la personnalité de Vincent Elbaz est bien connue. Pourtant, l'acteur révélé en grand dadais hilarant dans Le Péril Jeune ne semble pas correspondre aux personnages qu'il incarne, malgré son physique et son charisme très avantageux. Libération signe en effet un portrait du comédien bientôt à l'affiche de Sweet Valentine avec Louise Bourgoin, l'occasion de découvrir un homme sage et prudent.
"Séducteur et forcément chien fou. On le découvrez simple et sage, raisonnable et en retrait", raconte la journaliste qui l'a interviewé. Elle s'étonne de l'écart entre "l'image que ce type renvoie et la réalité. A défaut de trouver une explication, on finit par formuler trois hypothèses". Soit il est conscient de son charisme mais ne s'en sert pas, soit il n'a pas conscience de son charisme, soit il ne sait pas se servir de son charisme.
Au fil de ce portrait, on apprend qu'il est célibataire : "Il se dit seul depuis un bout de temps, séparé de la chorégraphe danoise avec qui il a eu un enfant. Là, ça y est, on atteint les limites de la confidence." En juillet 2007, il est devenu papa d'une petite Anna qu'il a eue avec Mette Berggreen. C'est elle qui lui a appris à bouger son corps pour les besoins du film J'aurais voulu être un danseur d'Alain Berliner.
Le beau Vincent est célibataire ? Voilà une nouvelle qui éveille l'attention de bien des jeunes femmes. Mais les espoirs s'amenuisent avec la phrase de conclusion de ce portrait : "Ce type est tout simplement hors d'atteinte." Nous aurons quand même le plaisir de le voir dans l'ovni cinématographique inclassable, OCI comme il dit, Sweet Valentine, plus tard dans le téléfilm Au bas de l'échelle avec Helena Noguerra et prochainement dans La Vérité si je mens 3 !