"C'est évident que..." : Léa Salamé au 20 heures de France 2, une mauvaise nouvelle pour son compagnon Raphaël Glucksmann ? Il se confie sur le sujet

Lundi 1er septembre, Léa Salamé a fait sa rentrée au 20 heures de France 2. Une première qui a fait son petit effet puisque ce sont un peu plus de 4 millions de téléspectateurs qui l'ont suivie en direct, soit 21,1% du public. Un score qui n'avait plus été atteint depuis le mois de mai dernier, lorsqu'Anne-Sophie Lapix était encore en poste. 

Si elle n'a pas véritablement fait d'étincelles, Léa Salamé est en tout cas très heureuse d'entamer ce nouveau chapitre dans sa carrière et elle n'est pas la seule. De passage sur les ondes de franceinfo ce jeudi matin, son compagnon Raphaël Glucksmann a évoqué brièvement mais sincèrement la promotion de sa chère et tendre. "J'ai été extrêmement fier et j'ai trouvé que c'était un moment incroyable pour elle donc c'est ma fierté pour elle, pour ce qu'elle représente, pour ce à quoi elle aspire", a confié l'eurodéputé et chef du parti Place publique.

Raphaël Glucksmann n'a cependant pas caché qu'une complication les attendait prochainement, à savoir la possible candidature du politique à la présidentielle 2027. Ce qui empêcherait Léa Salamé d'exercer son rôle de journaliste à l'antenne. "C'est évident que ce sera dans ce cas-là un problème et une incompatibilité", a reconnu le papa de Gabriel né en 2017 et de Raphaël né en 2011 et issu d'une précédente relation. Mais il demeure serein quant à la solidité de leur couple face à ce défi. "A la fin, je vous dis, il n'y aura pas de conflit d'intérêts en cas de candidature à la présidentielle".

Dans le cas où Léa Salamé serait contrainte à une pause forcée, cela ne voudra par ailleurs pas dire qu'elle sera à fond derrière son homme. Pour cause, comme le rappelle Raphaël Glucksmann, ils ne partagent pas forcément les mêmes points de vue. "On est en 2025 et une femme n'a pas les opinions politiques de son mari et je peux vous garantir d'ailleurs que, en l'occurrence, c'est probablement très vrai sur certains sujets", a-t-il encore déclaré. Et d'insister sur le fait qu'ils ne soient pas d'accord sur tout : "Ah ben non, non, d'ailleurs, c'est un fait que je partage devant vous".