






Pendant plus de vingt ans, Emmanuel-Philibert de Savoie et Clotilde Courau se sont profondément aimés. Après leur somptueux mariage orchestré en 2003 à Rome, ils ont également accueilli deux Vittoria (2003) et Luisa (2006). Mais à ce jour, leur belle histoire d'amour n'est plus d'actualité. En effet, le fils de Victor-Emmanuel de Savoie et la célèbre comédienne ont décidé de prendre des chemins différents. Aux dernières nouvelles, le petit-fils du dernier roi d'Italie a retrouvé l'amour depuis l'officialisation de leur rupture.
Désormais lors d'événements mondains, Emmanuel-Philibert de Savoie s'affiche fièrement au bras d'Adriana Abascal, une femme d'affaires mexicaine et ex-Miss Mexique 1988. Comme l'ont rapporté les équipes de Point de Vue ce 7 mai, le chef de la maison royale de Savoie était à ses côtés lors du "Concerto pour la Paix" d'Omar Harchouf organisé en avril au Parlement Italien en hommage au Pape François. Pour mémoire, les tourtereaux - qui ne se quittent plus - avaient été aperçus ensemble lors de la messe célébrée à Ajaccio l’an dernier, à l’occasion de son passage en Corse. Et à en croire les confidences d'Emmanuel-Philibert de Savoie à nos confrères de Corriere della Sera le 15 mars, sa progéniture a même adoubé sa nouvelle romance.

"Je crois que mes filles aujourd'hui savent qu'il est important que leur père soit heureux et ait trouvé une personne avec qui il se sent bien", a rapporté le père de famille au quotidien italien. Etant très proche de ses deux filles, le prince de Venise et de Piémont suit avec la plus grande attention leur belle évolution. A noter que sa cadette étudie le droit en Espagne, tandis que son aînée, en plus d'être mannequin semble particulièrement intéressée par le théâtre, comme son illustre maman, figure phare du 7ème français.
"Il est normal qu'elle construise sa vie avant de penser à devenir l'héritière du titre, même si elle m'accompagne déjà à divers événements", a ajouté Emmanuel-Philibert de Savoie en évoquant tendrement sa fille Vittoria qui semble apprécier les choses simples de la vie. "Ma chance a été que mon père épouse une mère comme la mienne, actrice, bosseuse, indépendante. Moi je ne me vois jamais comme une princesse", avait-elle affirmé à Madame Figaro en 2024. "Ce rang est honorifique (...) Il m'arrive d'accompagner mon père dans des déplacements officiels de bienfaisance, mais c'est tellement loin de ma réalité : je dois faire bonne figure et m'habiller en conséquence, alors que je ne me sens bien qu'en look extra large. Je suis un vrai garçon manqué". C'est dit !