Évincée de France 2, Anne-Sophie Lapix s'est retirée au Pays basque où elle a accepté un rôle important

C'est une page importante qui s'est tournée pour Anne-Sophie Lapix. Le 26 juin dernier, la journaliste a présenté son dernier 20 heures sur France 2, après huit ans de bons et loyaux services. Elle a quitté la chaîne dans la foulée et, à la rentrée, c'est sur M6 qu'elle reprendra l'antenne. En effet, la femme du publicitaire Arthur Sadoun va y présenter "un grand entretien dominical avec une personnalité qui fait l'actualité". En outre, elle officiera sur RTL pour animer la tranche d’information de 18h à 19h15 du lundi au jeudi, suivie de 19h15 à 20h avec On refait le monde.

Mais en attendant, Anne-Sophie Lapix prend du bon temps du côté du Sud-Ouest, d'où elle est originaire et qui représente son havre de paix. La présentatrice de 53 ans n'a toutefois pas l'intention de se tourner les pouces. Sur place, elle a accepté d'endosser un grand rôle, celui de marraine du Festival Classic à Guéthary qui aura lieu du 9 au 16 août.

Il s'agit de la 13e édition. Au programme, dix concerts dispersés sur six soirées dans les églises de Guéthary et de Bidart. Un beau moyen de célébrer la musique de chambre au cœur du Pays basque. C'est d'ailleurs ce qui a poussé Anne-Sophie Lapix à participer à l'événement créé par le pianiste Aurèle Marthan en 2012.

"On sent un vrai plaisir à se rencontrer et à jouer ensemble. C’est sans doute ce qui explique que des artistes comme les sœurs Labèque, Renaud Capuçon et tant d’autres interprètes de renommée internationale se rejoignent ici. Les liens créés lors de ce festival sont si forts qu’ils font naître des concerts dans d’autres villes du monde", s'est-elle réjouit pour Sud Ouest.

Ce n'est pas un hasard qu'Anne-Sophie Lapix ait hérité du rôle de marraine de ce festival, étant donné qu'elle vient de Saint-Jean-de-Luz. Elle y possède même une maison, laquelle est idéale pour se ressourcer dès qu'elle le peut afin de s'éloigner de l'agitation parisienne. 

"Dès que je pose le pied là-bas mon pouls ralenti, je respire mieux, je me sens bien. C’est vraiment physique en fait, Saint-Jean-de-Luz me manque comme une personne. Si je ne la vois pas pendant un bout de temps, je ne me sens pas bien", expliquait-elle en 2020 au micro de France Bleu.