





Suite à la disparition d'Hermine de Clermont-Tonnerre, Georges Fenech a rencontré Marie-Séverine Trouban dans des circonstances magiques. Alors qu'ils étaient invités tous deux à un diner, cette chroniqueuse de Sud Radio avait prié son amie Hermine afin qu'elle l'aide à trouver un homme bien. Le soir-même, elle rencontrait par hasard Georges, le dernier compagnon de la princesse. Auteur du livre Hermine paru depuis le 7 mai 2025, l'homme politique nous a raconté son coup de foudre pour cette jolie femme qui exerce le métier de médium.
Parlez-nous de votre rencontre avec Marie-Séverine Trouban...
Effectivement, nous ne connaissions pas, elle ne connaissait pas mon existence. Elle m'a expliqué qu'elle avait priée son amie qu’elle rencontre quelqu'un sur son chemin, etc. Et donc elle se met près de moi dans cette soirée festive. Elle me dit que son amie est décédée d'un accident, qu’elle s’appelle Hermine. Elle est convaincue évidemment qu’Hermine a intercédé pour qu'on puisse se rencontrer, parce qu'elles étaient amies en fait.
Est-ce que quand vous avez rencontré Marie-Séverine, le fait qu'elle ait fait de la télé-réalité vous a refroidi ?
Je ne la connaissais pas. Elle ne me connaissait pas, elle ne savait pas que j'avais fait de la politique, et donc c'était une découverte spontanée, on ne se connaissait pas du tout. Et quand elle m'a parlé d'elle, etc., qu'elle avait fait la télé-réalité, j'ai dit plutôt, non, moi je ne suis pas du tout fermé à tout ça, évidemment. C'est une femme moderne. Voilà, donc non, non, il n'y a pas eu d'obstacles dans ma relation aujourd'hui. Il n'y avait pas d'obstacles, il n'y avait pas de réticences ni d'une partie, ni de l'autre.
Quand vous vous êtes rencontrés, avez-vous eu le coup de foudre ?
Oui, tout de suite. Tout de suite. Tout de suite, on ne s'est plus quittés.
Alors, dans le livre, vous évoquez aussi une brève rupture avec Marie-Séverine. Est-ce que justement cette séparation vous a permis de donner un nouvel essor à votre relation ?
Oui je pense oui. C'était pas vraiment une rupture. C'était une rupture d'humeur. Il faut que vous sachiez que c'est ma compagne elle-même qui m'a encouragé à écrire et à publier ce livre sur Hermine. Alors j'ai commencé à l'écrire et en fait j'ai vécu avec ça, en même temps ça m'a permis de continuer ce dialogue avec elle. Et j'ai eu un doute à un moment, je n'ai plus voulu le publier. Donc je ne voulais pas en fait le publier, c'était mon histoire avec elle, personnelle. Et puis ma compagne actuelle l’a envoyé sans m'en parler, elle a envoyé mon manuscrit à un éditeur. J'étais très en colère. Donc, j'ai reçu un appel de l'éditeur, effectivement, qui m'a dit : ‘C'est vraiment très encourageant, etc’. Alors là j'ai réfléchi, et après j'ai dit, il faut le publier c'est clair, c'est une manière de la conserver encore plus présente dans nos mémoires. Je n'ai pas le droit de garder que pour moi cette période, ces derniers moments à elle, qui nous appartiennent certes mais que ses amis ou les gens qui l'aimaient peut-être aimeraient savoir qu'elle est partie pleinement heureuse, elle était dans le bonheur.
Est-ce que le métier de Marie-Séverine vous permet de rentrer en contact avec Hermine ?
Non, on ne fait pas ça. Elle, elle est en contact avec... Oui. Évidemment, elle a des dons, elle a des prédispositions que moi, je n’ai pas. Mais non, on ne fait pas ça. On ne fait pas ça. Elle a d'ailleurs écrit un livre Ces signes qui ne sont pas des coïncidences qui est numéro 1 des ventes depuis plusieurs semaines. Je suis très fier d'elle.
Est-ce que ce livre pourrait avoir une suite, par exemple, sur votre relation avec Marie-Séverine ?
Oui. Ça pourrait venir. Je ne sais pas. On pourrait même l’écrire à deux mains.
Bien loin d'être jalouse de la relation qu'a entretenu Georges Fenech avec Hermine, c'est donc Marie-Séverine qui a conseillé au chroniqueur de Cnews d'écrire et de publier ce livre hommage sur la princesse disparue en juillet 2020. Une très belle preuve d'amour.
Pour rappel, Georges Fenech nous a également parlé des circonstances encore floues qui entourent l'accident d'Hermine de Clermont-Tonnerre ainsi que sa dernière exigence qu'il avait faite au chef de service lorsque la princesse était hospitalisée.
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