






Florent Pagny a souffert d'un cancer des poumons. Aujourd'hui, il va mieux et a même signé son retour à la télé comme coach dans The Voice 2025. Et si l'interprète de Savoir aimer est en forme, c'est notamment parce qu'il a trouvé un traitement qui lui fait du bien. Et il n'a pas besoin d'ordonnance pour cela... Explications.
En 2024, Florent Pagny se livrait dans Addiktion, le podcast de Laurent Karila, addictologue, professeur en psychiatrie et expert dans Ca commence aujourd'hui, l'émission de témoignages de France 2 présentée par Faustine Bollaert. L'occasion d'évoquer sa santé, révélant ainsi qu'il n'avait à ce jour "plus de traitement". "J'avais l'immunothérapie mais on s'est rendu compte que ça ne marchait pas, qu'il y avait des rechutes, donc on a laissé tomber", explique-t-il. Et de nuancer : "Par contre dernièrement, j'ai plutôt accompagné avec la médecine chinoise. C'est celle qui me donne le plus de bonne satisfaction pour tout ce qu'il peut y avoir à côté et à cause des traitements. Comme c'est des plantes, c'est pas mal. J'ai trouvé un bon médecin qui me donne les bons traitements et qui gère toutes les évolutions qu'il peut y avoir." Plus encore, celui qui vit entre la Patagonie et la France avec sa femme Azucena assure qu'"il y a des gens qui n'ont pas de cancer et qui en ont besoin aussi". "Ca accompagne tout le monde, poursuit-il. Mais comme c'est de la médecine naturelle, on n'est pas en train de prendre des médicaments, on prend des gélules avec des plantes dedans. Moi, les plantes m'ont toujours fait du bien."
En plus de la médecine chinoise, ce père de deux enfants - Inca et Aël, 29 et 25 ans - s'auto-prescrit des gélules. Et cela notamment pour combler le manque du cannabis, qu'il a arrêté : "C'était justement la sensation du THC qui commençait à me manquer. C'est pour ça que j'ai évolué avec les gélules. Et tu vas chercher l'huile et tu l'absorbes au lieu de fumer. C'est plus difficile à gérer, mais ce n'est pas plus mal. C'est moi qui me la suit prescrite tout seul. C'est moi le docteur, car c'est moi le malade." Et de préciser que ces gélules, il les a aussi d'abord prises pour des raisons de santé : "A certains moments, je me retrouvais face à un vrai problème lié à une maladie. Je savais que dans d'autres pays, c'était pratiqué et utilisé et qu'ils avaient de bons résultats. En France, on m'a gentiment expliqué qu'on démarrait les études."