





Le samedi 31 mai 2025 restera une date historique pour le Paris Saint-Germain ! En s’imposant 5-0 face à l’Inter Milan lors de la finale de la Ligue des champions disputée à l’Allianz Arena de Munich, le club parisien a décroché son tout premier sacre européen. Un triomphe retentissant, le plus large jamais enregistré à ce stade de la compétition, qui vient récompenser quatorze années d’ambition et d’investissement sous l’ère Qatar Sports Investments. Dès le coup d’envoi, les Parisiens ont pris les commandes de la rencontre. Achraf Hakimi a ouvert la marque dès la 12e minute après une erreur de la défense italienne. Puis, le jeune Désiré Doué a rapidement enfoncé le clou en inscrivant un second but huit minutes plus tard. Rayonnant sur le terrain, il s’est offert un doublé en seconde période (63e), devenant l’une des figures majeures de cette finale. Khvicha Kvaratskhelia (74e) puis Senny Mayulu (86e) ont complété le festival offensif du PSG, scellant définitivement le destin de l’Inter Milan. L’ancien capitaine du club, Kylian Mbappé, n’a pas manqué de saluer cette victoire depuis son compte Instagram : "Le grand jour est enfin arrivé, la victoire et avec la manière de tout un club, félicitations PSG".
Parmi les nombreuses autres réactions à cette performance historique, celle d’Emmanuel Macron a particulièrement retenu l’attention. Sur X (ancien Twitter), le président de la République a partagé un message teinté d’enthousiasme et de références footballistiques : "Champion mon frère !" — clin d’œil à la phrase culte de Lucas Moura — avant d’ajouter : "Jour de gloire pour le PSG ! Bravo, nous sommes tous fiers. Paris, capitale de l’Europe ce soir". Mais s'il y en a un qui risque de ne pas oublier ce beau match, c'est bien Bruce Toussaint. Le journaliste s'est rendu en Allemagne pour l'occasion et a tenu à raconter lundi 2 janvier sur le plateau de Bonjour ! La Matinale, la situation embarrassante dans laquelle il s'est retrouvé. Face à ses chroniqueurs, il a raconté : "Alors déjà, il faut savoir qu'être supporter, ça ne se décide pas. C'est souvent une histoire de famille, de copains, ça vous tombe dessus. On est capable de faire 2000 kilomètres en 24 heures. J'ai eu cette chance. Ce privilège, c'était extraordinaire". Puis de poursuivre : "Au passage, je profite de cette émission pour m'excuser publiquement auprès du supporter de l'Inter qui était juste devant moi dans le stade de Munich. Quand j'ai déplié mon mètre 93 un peu violemment au moment du troisième but, je l'ai à moitié assommé. C'est tristement vrai. Moment d'euphorie pas tout à fait contrôlé…".

Conscient de la violence de son geste, il a souhaité s'excuser mais a complètement oublié comment le faire en italien. "J'ai voulu dire pardon, mais je ne me souvenais plus comment on disait ça en italien… 'Scusi'. La soirée s'est poursuivie sans violence de ma part et de toute façon, ils sont partis… À 4-0, j'ai commencé à retenir mes larmes. A 5-0, j'étais une serpillère humaine", a détaillé avec humour l'animateur de la matinale de TF1. Puis de conclure avec une touche de nostalgie : "J'ai repensé à mon père qui m'avait emmené pour la première fois au Parc des Princes à l'âge de 13 ans et qui m'a transmis cette passion. Mon père qui n'est plus là pour vivre ses émotions… Et peut-être que mon fils lui-même transmettra ça à ses enfants dans quelques années. Une histoire de famille, je vous dis".