La cantine de France Télévisions est-elle bonne ? Une figure du groupe qui la fréquente donne la réponse

Après avoir fait ses armes sur les antennes de Bloomberg TV, BFMTV et I-télé, Julian Bugier a rejoint les rangs de France Télévisions en 2011. Au départ, il avait été recruté pour devenir le joker attitré de Laurent Delahousse à la présentation des journaux de 13h et de 20h le week-end sur France 2. Cependant, il deviendra à peine quelques mois plus tard le joker de David Pujadas à la présentation du JT de 20h de France 2. En parallèle, le journaliste va incarner différents programmes sur l'antenne de la chaîne publique, dont certaines éditions spéciales en direct. Au final, Julian Bugier profitera du départ de Marie-Sophie Lacarrau sur TF1 en 2021 pour devenir le présentateur titulaire du JT de 13h de France 2.

Actuellement en congés, Julian Bugier sera bientôt de retour aux commandes du journal de la mi-journée sur la chaîne publique pour une nouvelle saison. En travaillant depuis maintenant quatre ans du lundi au vendredi à 13h, le journaliste a pris l'habitude d'aller déjeuner à la cantine de France Télévisions après la fin de son JT. Il s'est d'ailleurs confié sur la qualité des plats servis au sein du siège du groupe audiovisuel public, situé dans le 15e arrondissement de Paris. "C'est pas dingue, mais c'est une grosse cantine, on a beaucoup de salariés, et c'est acceptable", a ainsi lancé Julian Bugier lors de son récent passage dans l'émission On refait la télé sur RTL. "Est-ce qu'il reste encore quelque chose quand vous arrivez à 14h après le journal ?", a également voulu savoir l'animateur Eric Dussart.

"C'est un vrai sujet. Vous avez raison de le souligner. Bien souvent, il ne reste plus beaucoup de plats. Donc, on prend ce qu'il y a", lui a alors répondu Julian Bugier. Au cours de ce même entretien, le journaliste a aussi révélé qu'il pouvait devenir de mauvaise humeur s'il n'avait pas apprécié son repas. "Ça me plombe ma journée. Ça me gâche le moment, j'ai l'impression qu'on se fiche de moi. Quand on fait des délocalisations, je jète toujours un coup d'œil sur la réservation qui a été faite la veille au soir. (...) Maintenant, ce que je fais, c'est que je réserve le restaurant moi-même. Pas forcément un truc chic, juste un truc bon. Une très bonne pizzeria très simple, il n'y a rien de meilleur", a ainsi expliqué Julien Bugier.