La fille de Melanie Griffith et Antonio Banderas s'est mariée dans un lieu d'exception en Espagne, l'acteur a trinqué avec les journalistes présents à l'extérieur !

Dès l’après-midi, les allées bordées de vignes ont servi d’écrin à un ballet de silhouettes en smoking et robes du soir. Le lieu choisi par la mariée, Stella del Carmen, et son époux, Alex Gruszynski, est un ancien monastère du XIIᵉ siècle devenu hôtel cinq étoiles, posé au cœur d’un domaine viticole réputé. C’est ici que la famille a réuni entre 200 et 250 invités pour un oui très attendu. Le choix d’un site patrimonial, reconnu par le Guide Michelin, a offert un décor où se côtoient spiritualité monastique et art de vivre ibérique.

Le protocole était clair : discrétion maximale. Aucune caméra dans l’enceinte du domaine, téléphones bannis pour préserver l’intimité. Pour certains convives, l’arrivée s’est même faite en hélicoptère, l’abbaye disposant de sa propre plate-forme. Le marié, entrepreneur américain d’origine polonaise et ami d’enfance de Stella, a scellé une histoire commencée à Los Angeles. 

Elle, 29 ans, mène une vie discrète, entre création de courts-métrages, une marque d’huiles parfumées et des allers-retours réguliers en Andalousie, sur les terres de son père. Ils avaient annoncé leurs fiançailles fin août, sans ostentation. Melanie Griffith avait d’ailleurs repartagé la nouvelle sur ses réseaux sociaux, heureuse pour sa fille.

La liste des invités a fait grand bruit. Malia et Sasha Obama ont été vues aux abords du site, tout comme Trudie Styler. Côté clan, Dakota Johnson a assisté sa demi-sœur, et la mythique Tippi Hedren a honoré sa petite-fille. Au milieu de cette effervescence, le père de la mariée a résumé l’esprit de la journée : "Mon plus grand souhait, et celui de sa mère aussi, est que cette journée soit parfaite, en veillant à ce que chaque détail soit prêt pour que nos invités puissent profiter pleinement de cette journée si spéciale."

Aux portes du domaine, un homme en smoking noir lève son verre vers un cercle de reporters. Il s’agit du père de la mariée, Antonio Banderas. Sur les photos, on le voit sourire, flûte de blanc à la main, entouré d’un maître d’hôtel portant un plateau et d’un assistant tenant une bouteille. Le cortège de micros et de caméras reste à distance ; l’ambiance est légère, champagnes ouverts, regards complices.

Sur un autre cliché, la scène se déplace de quelques mètres : même costume impeccable, boutonnière bordeaux, la route longe les rangs de vignes. Le convive salue, trinque, échange quelques mots avant de retourner vers un véhicule blanc stationné devant la perspective majestueuse de l’abbaye. Le geste est simple et cordial : un clin d’œil à ceux qui couvrent la fête depuis l’extérieur. Ce moment-parenthèse résume l’équilibre recherché par la famille : intimité dedans, courtoisie dehors. 

Stella, née en Espagne, mais élevée à Los Angeles, a toujours cultivé une forme de réserve. Elle a étudié à New York puis à l’USC, s’est essayée au jeu et s’est affirmée derrière la caméra. En 2021, elle prêtait main-forte à son père au théâtre de Malaga ; la même année, elle lançait Lightbound, ligne d’huiles parfumées artisanales. Alex, 28 ans, partage ce goût de l’épure. Tous deux ont souhaité une célébration cosmopolite, mais résolument intime : pas de diffusion en direct, aucun détail superflu, seulement des proches et quelques amitiés de longue date.