






Elle est surnommée Laura du Web depuis plusieurs années maintenant. Laura Tenoudji est devenue au fil des années la figure numérique de l’émission Télématin présentée quotidiennement sur France 2. Et ce mercredi 8 avril, c’est une tendance liée à l’intelligence artificielle qui inonde la toile qu’elle a tenu à présenter à Julien Arnaud et Flavie Flament ainsi qu’à tous les autres chroniqueurs présents en plateau.
Vous l’avez sans doute remarqué, mais plusieurs célébrités ont dévoilé sur les réseaux sociaux une figurine à leur effigie. Un travail signé ChatGPT que Laura Tenoudji a utilisé pour élaborer les doubles en plastique des deux animateurs de Télématin. Tout sourire et pas peu fière de cette découverte, Laura Tenoudji était plus rayonnante que jamais, comme elle l’avait déjà fait savoir dans sa story Instagram quelque temps plus tôt (voir le diaporama).
Habillée d’un costume noir et d’un T-shirt blanc, Laura Tenoudji s’est pris en selfie devant un miroir en attendant l’ascenseur. Au naturel, la femme de Christian Estrosi s’est affichée avec un large sourire qui en dit long sur son état d’esprit, alors qu’elle traverse une situation plutôt mouvementée avec son mari et père de sa fille Bianca, Christian Estrosi.
Il y a quelques jours, on apprenait par le biais du Figaro que des perquisitions ont été menées à la mairie de Nice, ainsi que dans une filiale de France Télévisions à Paris. La raison ? L’enquête du parquet de Marseille sur les conditions de financement et d’organisation de deux événements à Nice : l’Eurovision junior et le Nice Climate Summit. Une enquête a en effet été ouverte pour “prise illégale d’intérêt” avec “recel” et “détournement de fonds publics, “faux en écriture publique ou authentique par personne dépositaire de l'autorité publique."
Christian Estrosi est soupçonné d’avoir accordé des subventions pour l’organisation de ces deux évènements dans lesquelles sa femme était impliquée. Laura Tenoudji, embauchée par France Télévisions pour présenter l’Eurovision Junior, était soupçonnée d’avoir empoché une jolie somme pour le faire, un fait qu’elle avait démenti auprès de Mediapart. Elle avait notamment indiqué ne pas avoir touché plus que son salaire mensuel dans le groupe et avoir accepté l’invitation d’être “ambassadrice de la ville de Nice pour l’Eurovision junior”, écartant ainsi toute question de conflit d’intérêt. “Je suis droite dans mes bottes” avait-elle fait savoir dans les colonnes de Nice-Matin.