Scott Disick et Lina Sandberg : La fin d'une idylle... qui n'a jamais commencé ?

C'est déjà la fin de l'idylle supposée entre Scott Disick et le mannequin suédois Lina Sandberg. Si elle a toutefois eu lieu ! Car les versions de l'histoire diffèrent...

Tandis que le magazine US Weekly affirme que le couple a mis un terme à sa relation une semaine après qu'elle a commencé à faire grand bruit dans la presse, l'ex de Kourtney Kardashian assure au contraire qu'il n'y a jamais rien eu entre eux. Pour rester dans les petits papiers de son ex, peut-être ?

"Lina et Scott ont pris des chemins différents. Ils sont néanmoins restés bons amis, c'est une décision que Lina a prise en accord avec lui. Ils ont tous les deux beaucoup de choses à faire, il veut se concentrer sur son bien-être et ses enfants", rapportait cette semaine le magazine américain. Le jeune homme de 32 ans, séparé de sa compagne de neuf ans et mère de leurs trois enfants - Mason (6 ans), Penelop (3 ans) et Reign (1 an) - depuis l'été dernier après lui avoir été infidèle, a effectivement décidé de se racheter une conduite en même temps qu'une nouvelle somptueuse demeure.

C'est peut-être ce qui expliquerait qu'il préfère étouffer l'affaire, pour préserver sa relative bonne entente avec la star de L'Incroyable Famille Kardashian - avec laquelle il partage l'éducation des enfants. En effet, selon les informations du site TMZ, le Lord serait très inquiet des rumeurs qui courent à son sujet et celui de la bombe suédoise qu'il assure à peine connaître.

Scott a confié l'avoir rencontrée à plusieurs reprises, sans qu'il se soit passé quoi que ce soit et s'inquiète des ragots colportés à son sujet par un mannequin en mal de notoriété. Alors qu'ils ont été photographiés en train de s'enlacer devant le Beverly Hills Hotel la semaine dernière, Scott assure qu'il était en train de déjeuner sur place avec un ami quand elle s'est incrustée à leur table - il prétend même qu'elle "lui fout les jetons". Ce qui ne l'a pas empêché de lui donner l'accolade en partant, un geste "forcé qui ne signifie rien", a-t-il précisé. Une excuse plutôt vaseuse.

Coline Chavaroche