Tony Parker au micro de Nikos : "J'aurai toujours de l'amour pour Eva"

Depuis l'exploit de l'équipe de France en Lituanie, Tony Parker est en plein marathon médiatique...

La star des San Antonio Spurs enchaîne les émissions de radio et de télé pour raconter cette aventure extraordinaire qu'a vécue l'équipe de France durant son Euro de basket en Lituanie. Et ce lundi 26 septembre 2011, Tony Parker était l'invité de Nikos sur Europe 1 à l'occasion du Parker Gala donné en faveur des enfants et organisé pour sa sixième édition à l'Hôtel de ville de Paris.

Une fois de plus, le meneur de jeu des Bleus est revenu sur cette seconde place obtenue avec ses amis Joakim Noah, Boris Diaw et Nicolas Batum, et la qualification directe aux Jeux Olympiques de Londres en 2012, qui, bien loin de marquer la fin d'une histoire, constitue au contraire "le début d'une grande aventure". Et lorsque Nikos évoque les émotions suscitées par tous ses succès, Tony Parker n'a qu'un mot en tête : Jeux Olympiques ! "Se qualifier pour les Jeux Olympiques est beaucoup plus fort (que les autres titres, ndlr). J'ai eu la chance de gagner trois titres avec San Antonio. Des moments que je n'oublierai jamais. Mais gagner pour son pays, c'est encore autre chose, ça procure des émotions comme seul le sport peut en créer", confie-t-il à l'animateur d'Europe 1.

Et à 29 ans, l'international ne pense absolument pas à la retraite et à la reconversion. Pourtant, le cinéma semble lui faire du pied, lui qui a déjà fait une apparition remarquée dans Astérix aux Jeux Olympiques et qui est le héros d'un dessin animé diffusé sur M6, baptisé Baskup : "J'ai eu pas mal de propositions mais je n'ai jamais concrétisé car je souhaitais me concentrer sur ma carrière de basketteur. Mais pourquoi pas après ?" Outre le cinéma, ce fêtard invétéré, que l'on a pu voir sur un bateau ou lors de l'inauguration d'un hôtel ouvert par son ami Boris Diaw à Pau, se verrait bien en "président." Avant de préciser "de club", président de la République étant un boulot "trop compliqué", lui qui a eu la chance de rencontrer un Barack Obama fan de basket qui connaissait toutes les stats du Frenchie.

Quant à son divorce d'avec Eva Longoria, Tony Parker en parle presque avec fatalité et ne regrette qu'une chose, son ultra-médiatisation : "Des choses qui arrivent dans la vie. Il y a pas mal de divorces, mais le mien était sur tous les magazines. Je ne peux pas contrôler ce que pensent les gens. C'est dur à vivre. Mais j'aurai toujours de l'amour et du respect pour Eva."