Un secret bien caché... Cette grande actrice a failli s'épanouir dans un métier qui attire seulement 25 000 personnes en France

Angelina Jolie est une actrice que l'on ne présente plus, qui a notamment reçu trois Golden Globes, deux Screen Actors Guild Awards et un Oscar du cinéma. Mais saviez-vous qu'elle avait une autre idée en tête pour son avenir professionnel ? En effet, la maman de Maddox, Pax, Zahara, Shiloh, Vivienne et Knox voulait devenir... croque-mort !

C'est ce qu'elle avait notamment racontée lors d'une interview télévisée pour 60 minutes :  "Ca peut paraître très étrange, excentrique et très sombre mais en fait, quand j'ai perdu mon grand-père, j'ai été très dérangée par ses funérailles. La façon dont les gens meurent, la manière dont la famille vit cet évènement et ce que la mort représente devraient être traités de façon différente... Si le cinéma n'avait pas marché pour moi, j'aurais pu y faire carrière." Une révélation très étonnante. 

En France, le secteur des pompes-funèbres ne fait vivre que 25 000 personnes, d'après Le Figaro. Le croque-mort, lui, est chargé de la mise en bière des défunts et du transport des morts au cimetière. Comment se faire embaucher ? "Pour recruter, on ne se focalise pas sur un diplôme mais sur le savoir-être des candidats", expliquait Guillaume Fontaine, président de la Fédération nationale du funéraire (FNF), au Figaro. La famille ne nous demande pas de pleurer avec elle mais d'être professionnelle et de l'accompagner pour qu'elle puisse faire son deuil."

"Pour bien exercer ce métier il faut être à l'écoute, discret et savoir rester maître de soi. Il faut aussi faire preuve de diplomatie quand le décès fait suite à une mort non naturelle (suicide…) et qu'il faut expliquer aux proches qu'ils ne pourront pas voir le corps du défunt. Il en faut aussi quand les familles se disputent et sont en désaccord sur la cérémonie !", apprenait-on également. 

A noter aussi qu'une "trentaine de structures forment à tout ou partie des métiers du funéraire en France. La Fédération Nationale du Funéraire (FNF)possède sa propre école de formation, l'EFFA : créée en 1981, la plus ancienne des écoles a formé 350 personnes" en 2023.