






Le journal d’Anne-Claire Coudray, comme la plupart des JT, est rarement un condensé de bonnes nouvelles. Mais dimanche 26 janvier dernier, la journaliste s’est permis une petite incartade sur un sujet personnel concernant une personnalité de TF1. "Tatiana Silva vient d'accueillir un petit garçon du nom de June. Tatiana, on t'embrasse très fort ainsi que le papa et le bébé", a-t-elle lancé aux téléspectateurs pour clore son journal sur une note heureuse. Une petite page people venant de la part d’une journaliste qui connaît le bonheur d’être maman puisque sa fille Amalia fêtera son dixième anniversaire au mois de juillet prochain. À l’époque, suivant un même procédé, c’est d’ailleurs l’ancien présentateur du JT, Julien Arnaud, qui avait joué les faire-part en fin de journal.
Cette enfant est le fruit des amours d’Anne-Claire Coudray et Nicolas Vix, un chef d’entreprise qu’elle a rencontré en 2014. Un homme dont elle parle rarement, au bras duquel elle n'a été aperçue que quelques fois mais qui joue pourtant un rôle primordial dans sa vie. La présentatrice du journal s’en était ouverte dans les médias.
Lorsque Anne-Claire Coudray, qui fête ses 48 ans ce 1er février, et Nicolas Vix se sont croisés pour la première fois, ils étaient déjà bien installés dans leur vie respective. Comme la journaliste l'a confié dans L’Instant de Luxe le 6 janvier 2020, elle approchait la quarantaine tandis que son compagnon était sur le point d’entrer dans la cinquantaine. Une maturité qui, selon elle, leur a permis de bâtir une relation solide, où chacun a pu conserver son individualité. "C’est une chance de construire un couple à un âge où l’on se connaît bien, où l’on a trouvé son équilibre et où l’on sait précisément ce que l’on recherche, mais aussi ce que l’on refuse", expliquait-elle alors face à Jordan de Luxe.
Profondément épanouie aux côtés de son compagnon, la présentatrice du journal n’a jamais tari d’éloges à son sujet. Si leur relation est si harmonieuse, c’est notamment parce que Nicolas Vix évolue en dehors du monde des médias. "Le fait qu’il ne soit pas journaliste est un vrai atout, reconnaissait-elle à propos de cet homme qui lui apporte avant tout "de l’amour, de la bienveillance", mais aussi une précieuse bouffée d’air frais. "Il m’aide à prendre du recul par rapport à ce milieu qui peut être particulièrement envahissant", confiait-elle avec tendresse.
En 2018, elle affirmait déjà à Paris Match qu’elle avait trouvé l’équilibre grâce à lui : "Beaucoup d’hommes ont eu du mal à supporter le rythme particulier de mon métier, assurait-elle à nos confrères. Au final, se rencontrer tard, c’est mieux accepter l’autre. Cela permet de désamorcer et d’éviter les conflits. Avec Nicolas, nous sommes différents", pointait-elle. "Ni lui ni moi n’avons renoncé à notre personnalité. Il n’est pas journaliste mais chef d’entreprise et m’aide à relativiser, à m’apaiser."
Cette entreprise dont parle Anne-Claire Coudray, c’est Weeplay, qu'il a lancée en 2007. Après être sorti diplômé de la Burgundy School of Business, à Dijon, et fort d'une douzaine d'années d'expérience en management commercial et marketing développée chez Procter & Gamble, l’entrepreneur décide de lancer sa propre marque. Spécialisée dans la fabrication et la commercialisation de produits dérivés pour le compte de clubs, fédérations et événements sportifs, dans les secteurs textile et accessoires, Weeplay est aujourd’hui licencié exclusif pour l'Olympique de Marseille, le Paris Saint-Germain, l'A.S. Saint-Étienne et l'UEFA Champions League.

Boutiques officielles des clubs, grandes surfaces, magasins spécialisés, on trouve aujourd’hui partout les produits commercialisés par le chéri d’Anne-Claire Coudray dont le credo, martelé sur son compte LinkedIn, est le suivant : "Concevoir et fabriquer des produits de qualité au juste prix et les diffuser le plus largement possible auprès des FANS, c'est notre MISSION !"
Pour la mener à bien, Nicolas Vix et ses équipes ont un atout : les prix ! "Si on prend l’exemple du PSG, l’équipementier Nike fabrique et distribue la majorité des produits griffés avec le logo PSG, notamment grâce au maillot officiel", expliquait-il au site USM.com en 2019. "Chez Weeplay, nous développons des gammes différentes de celles de l’équipementier sportif. Il s’agit de produits textile lifestyle et de ballons dont les prix sont plus accessibles, car les grandes surfaces alimentaires sont notre premier canal de distribution."
Lors de ce même entretien, le chef d’entreprise était fier de présenter le siège de sa société. Après avoir, durant huit mois, cherché des locaux professionnels à acheter, Nicolas Vix s’est rabattu sur des locaux d’habitation. "J’ai trouvé cet endroit assez vite. Il appartenait à un couple de personnes âgées qui y vivaient depuis plus de 35 ans, et lorsque je suis entré la première fois, je suis tout de suite tombé sous le charme. On se trouve maintenant dans un lieu atypique, qui tire sur l’hôtel particulier…" Un lieu qu’il a rafraîchi, redécoré et agrémenté de jolis meubles qu’il va notamment chiner aux puces de Saint-Ouen… Un lieu qui est aussi le siège d’une société qu’il possède avec son épouse !
Comme de nombreux couples, Anne-Claire Coudray et Nicolas Vix, qui tentent de s'offrir de temps en temps des moments à deux, sont en effet les détenteurs de SCI : société civile immobilière. Le site economie.gouv explique que cette structure juridique constituée à minima de deux personnes, chacune ayant le statut d’associé, permet de gérer un ou plusieurs biens immobiliers.
Sur les sites d’informations financières, deux SCI apparaissent publiquement au nom d’Anne-Claire Coudray. SCI XIV, qu’ils possèdent tous les deux. Et Bagheera, une autre entité portant le nom de la célèbre panthère noire du Livre de la jungle… Peut-être un personnage qu’affectionne leur fille Amalia, puisqu'il s’avère que la fillette est copropriétaire, avec ses parents, de cette société immobilière. Une façon d’être prévenant et de préparer l’avenir de leur enfant, qui montre déjà des talents d’artiste, mais aussi celui de toute la famille.