Pour célébrer son union avec Michel Frenna, le père de sa fille Kimberley, l'humoriste Élodie Poux a choisi la Belgique, le pays d'origine de son mari, et plus précisément le Festival du Rire de Liège. Smokings et autres tenues de soirée étaient de sortie pour cette cérémonie placée sous les signes de l'amour et de l'humour. Un moment à revivre ce mardi 5 août à 21h10 sur W9. Car oui, elle a décidé de vivre ces festivités devant les caméras, avec son public ainsi que ses célèbres témoins, à savoir Nicole Ferroni, Éric Antoine, Alex Vizorek, Booder, Jeanfi Janssens, Sandrine Alexi, Pierre Aucaigne, Arnaud Demanche, Charlotte Boisselier ou encore Les Frères Taloche.
Et voici alors une occasion de s'intéresser plus en profondeur à l'acolyte de Laurent Ruquier, Chantal Ladesou et Kev Adams dans Mask Singer 7. Notamment à ce trouble rare d'ordre neurologique qui l'accompagne malgré elle au quotidien. Il s'agit de la prosopagnosie : une maladie qui fait qu'elle est incapable de se rappeler physiquement des personnes qu'elle rencontre. "Quand j'ai commencé à faire ce métier, je me suis aperçue que c'était vraiment un souci, je ne reconnaissais pas mon propre régisseur ! J'ai voulu en parler sur scène pour me décharger d'un poids, que les gens sachent que, si je ne les remets pas, ce n'est pas parce que je suis hautaine", avait-elle notamment raconté au Parisien.
Selon les scientifiques, environ 2,5% de la population souffre de prosopagnosie, soit une personne sur 40. En France, cela représente près de 1,7 million de personnes. Et vous ne le savez peut-être pas, mais une star mondiale est, tout comme Elodie Poux, touchée par ce trouble. Il s'agit de Brad Pitt.
Le célèbre acteur américain a lui aussi déjà abordé le sujet en interview, notamment pour le magazine Esquire en 2013. "Je ne peux pas retenir un visage. Tellement de gens me détestent parce qu'ils pensent que je leur manque de respect", avait-il expliqué. D'après le professeur Olivier Martinaud, neurologue responsable du centre mémoire de ressource et de recherche (CMRR) de Caen, "il existe plusieurs niveaux de déficit partant d’une difficulté à reconnaître des visages jusqu’à parfois une impossibilité complète. Certains peuvent ne pas reconnaître des membres de leur famille voire leur propre visage.”
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