François Hollande a fait une belle bourde le jour du vote des législatives ! Il a été "grillé" devant les caméras

Ce dimanche 30 juin 2024, la France entière s'est rendue dans les urnes pour un vote exceptionnel initié par la dissolution de l'Assemblée nationale par le président de la République Emmanuel Macron il y a quelques jours. Une décision qui a bouleversé le pays et qui fait suite aux résultats des élections européennes où le parti du Rassemblement national a fait le meilleur score et obtenu 30 sièges au Parlement européen.

Au premier tour de ce scrutin, le taux de participation était de plus de 67% selon les estimations, soit 21 points de plus que lors des législatives de 2022. Parmi les votants, il y avait bien évidemment ceux qui se présentent pour un siège à l'Assemblée nationale comme François Hollande, ancien président de la République et désormais candidat du Nouveau Front populaire sur la première circonscription de la Corrèze. Il est allé voter à Tulle, son fief où il a dit oui à Julie Gayet il y a deux ans.

Lorsque les journalistes de BFMTV l'ont filmé juste avant de mettre son bulletin de vote, ils ont remarqué l'ancien chef d'Etat souriant mais quelque peu concerné. En effet, il avait oublié de prendre sa pièce d'identité qu'on lui a rapporté à toute vitesse !

La figure du PS a obtenu 37,63 % des suffrages ce dimanche 30 juin. Il affrontera la candidate RN et le sortant LR au second tour dimanche 7 juillet. Il devance Maïtey Pouget du Rassemblement national, en forte progression dans le département, avec ses 30,89 %. Le député sortant Les Républicains Francis Dubois ferme la marche en obtenant 28,64 %.

François Hollande avait surpris l'ensemble de la classe politique française en annonçant, au lendemain de la présentation de l'accord du Nouveau Front populaire, sa candidature. Lors de sa prise de parole après le premier tour, François Hollande a appelé au rassemblement face au RN "le plus large", réunissant "tous ceux qui se reconnaissent dans les valeurs de la République" et ce "quel que soient les décisions que prendront les états-majors politiques".