Gérard Depardieu : Son quotidien à 2900 km de Paris, il vivait dans un immeuble à l'architecture très particulière

Gérard Depardieu, qui vient tout récemment d'écoper d'une peine de 18 mois de prison avec un sursis probatoire de trois ans après avoir été jugé pour des agressions sexuelles sur deux femmes lors du tournage du film Les Volets verts en 2021, est à retrouver ce lundi 7 avril à 21h10 sur TF1 dans Astérix et Obélix contre César.

L'occasion ainsi de s'intéresser au célèbre acteur, notamment à l'endroit où il a vécu, lorsqu'il était en Russie (pays dont il a obtenu la nationalité en 2013). Il s’est installé à Saransk, capitale de la république russe de Mordovie. Et plus précisément dans un appartement situé rue de la Démocratie, au sein d'un immeuble à l'architecture très particulière.

On reconnaît à vrai dire le style soviétique. Du béton, des formes simples, géométriques... Ces bâtiments ont poussé comme des champignons dans les villes et les campagnes russes à partir des années 1920, avec l'arrivée du communisme au sein du pays.

Gérard Depardieu a donc posé ses valises dans cet appartement, qui lui a été offert par les autorités locales. Mais rapidement, l’acteur a manifesté son désir de s’éloigner du centre urbain pour une demeure plus en harmonie avec la nature. Il aurait ainsi acquis un terrain à Belye Stolby, à 30 km au sud de Moscou, où il avait prévu de construire une maison en bois. 

Mais revenons-en à sa vie à Saransk, ville de 315 000 habitants située à 650 kilomètres de Moscou et à plus de 2900 de Paris. Gérard Depardieu aimait y rencontrer les commerçants. Il y a également inauguré un centre cinématographique à son nom. Et il y a enfin, aussi, fièrement montré son passeport russe, après avoir obtenu la nationalité russe.

Quant à son regard sur le conflit russo-ukrainien, il déclarait ceci au  quotidien allemand Augsburger Allgemeine Zeitung, en février 2023 : "Rien n’a changé pour moi. Quand j’aime un pays, c’est toujours pour sa culture. Mais je préfère éviter d’aborder le sujet (de la guerre, ndlr), personne n’est capable d’en dire quoi que ce soit de vraiment sensé ! Personne !"