






On ne la présente plus ! Révélée en 2004 dans l'émission Nouvelle Star diffusée sur la six, Amel Bent reste à ce jour l'une des chanteuses les plus populaires de sa génération. Pouvant se targuer de s'être imposée durablement dans l'industrie musicale, la grande amie de Vitaa a décidé d'orchestrer son grand retour sur le devant de la scène avec un nouveau single intitulé Décharge mentale.
Ce jeudi 6 février 2025, l'artiste de 39 ans a été mise à l'honneur sur le plateau de C à vous. L'occasion pour elle d'en dire davantage sur cette nouvelle chanson particulière symbolique qui aborde la charge mentale qu'elle peut ressentir au quotidien. Ces dernières années, Amel Bent a appris à concilier vie professionnelle et vie privée... Chose qui n'est pas toujours aisée. A rappeler qu'elle est l'heureuse maman de trois enfants : Sofia (2016) Hana (2017) et Zayn (2022) nés de sa relation avec Patrick Antonelli.

"C’est vraiment la liste des choses qui me tracassent quand je me mets dans mon lit le soir, à l’abri des enfants, de mon mari qui dort déjà, de tous les coups de téléphone. Il y a toutes les choses que je sais que je vais faire le lendemain et puis les choses que je ne vais pas pouvoir régler en une journée", a t-elle souligné pour évoquer sa composition tant attendue. Comme de nombreuses femmes à travers le monde, Amel Bent se retrouve chaque jour à gérer de multiples tâches et à être présente sur tous les fronts.
"Les femmes en société, on le sait, on va avoir plus de mal à vieillir, à concilier notre vie de famille, de mère, d’épouse", a-t-elle précisé. "J’ai l’impression qu’on nous demande partout, tout le temps, qu’on nous sollicite partout, tout le temps, en nous excusant rien. Il faut tout faire en étant fraîches, il ne faut pas grossir, il faut rester jeune, il faut absolument être une bonne mère, une bonne épouse, être au top au boulot parce qu’on sait qu’on ne va pas nous rater". Avec philosophie, la mère de famille a ainsi conclu face à Anne-Elisabeth Lemoine : "Il est temps qu’on le dise, même si on souhaite l’être et qu’on se bat pour ça, on n’est pas des surhumaines ! On ne peut pas être 100% partout et quand on ne l’est pas, il ne faut pas qu’on nous ramène à cette culpabilité permanente". C'est dit !