Avec ses 48 ans de carrière et ses innombrables tubes, Sting a empoché tout au long de sa carrière une coquette somme d’argent estimée à 225 millions selon le classement du Sunday Times datant de 2012. Papa de six enfants, Joseph (né en 1976) et Fuchsia Katherine (née en 1982), Bridget Michaela (née en 1984), Jake (né en 1985), Eliot Pauline (née en 1990) et Giacomo Luke (né en 1995), la rockstar britannique n’a pas prévu pour autant de léguer son héritage à sa progéniture. Interrogé par le Dailymail, il expliquait : "J'ai prévenu mes six enfants qu'ils n'auront que peu d'argent, car nous le dépensons. Nous avons beaucoup d'engagements. Je ne leur léguerai pas de fonds de placements, qui seraient comme des albatros autour de leur cou. Ils doivent travailler. Tous mes enfants le savent et ils me demandent rarement quelque chose, une attitude que je respecte et j'apprécie (...) Ils doivent gagner au mérite, leur propre argent."
L’interprète de Message in a Bottle a fêté ses 74 ans en ce début de mois d’octobre, et dans les pages du numéro du 9 octobre 2025 de Paris Match, le chanteur confie qu’il n’est pas encore en mesure d’arrêter sa carrière. La raison ? Il doit encore assurer des rentrées d’argent ! "Je ne peux pas me permettre de prendre ma retraite, il y a trop de gens qui dépendant de moi financièrement, déclare-t-il à nos confrères, Je suis fier d’être devenu un patriarche, de pouvoir envoyer mes petits-enfants dans de bonnes écoles grâce aux chanson que j’écris, aux concerts que je donne." Et oui, Sting aussi a des factures et des impôts à payer !
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Si cela fait plus de quatre décennies que The Police s’est séparé, les rancunes demeurent toujours. Le 24 août dernier, Andy Summers et Stewart Copeland, respectivement guitariste et batteur du mythique trio britannique, ont assigné en justice leur ancien chanteur, ainsi que sa société Magnetic Publishing Limited. Le conflit en cause : des royalties du tube Every Breath You Take qui, selon eux, ne leur auraient jamais été versées. Le titre datant de 1983 rapporteraient encore aujourd’hui plus d’un demi-million de livres par an à Sting, et Summers et Copeland qui ne sont pas crédités comme coauteurs, affirment n’avoir jamais touché un centime de ces droits. Un sujet sur lequel Sting n'a pas souhaité s'exprimer auprès de Paris Match...