Kad Merad lié à Enya depuis toujours, la jeune actrice et réalisatrice raconte leur "histoire qui est un peu pathétique"

Invitée sur le plateau de C à Vous, Enya Baroux a révélé être très liée à Kad Mérad pour une raison inattendue. La réalisatrice du film On ira sorti en mars 2025 est la filleule de l'acteur de 61 ans. Elle a ainsi raconté comment son père avait demandé au mari de Julia Vignali de devenir son parrain alors qu'ils se connaissaient à peine. "L'histoire est un peu pathétique", confiait-elle, un peu gênée. 

"Je ne sais plus si c'est à Rouen ou à Paris mais je viens de naître, il (Olivier Baroux, ndlr) n'avait pas trop de potes sous le coude et il venait de rencontrer Kad. Il l'a appelé genre : 'J'ai le baptême de ma fille demain, est-ce que tu veux bien être le parrain ?'", avait-elle poursuit. Immédiatement et alors qu'il avait rencontré le père d'Enya il y a peu, Kad Merad accepte. "Ils se connaissaient à peine", précisait-elle ajoutant que depuis, ils étaient "devenus meilleurs amis".

Réalisatrice du film On ira, ce film raconte l'histoire d'une grand-mère de 80 ans qui souhaite avoir recours au suicide assisté en Suisse. Grâce à ce premier long-métrage, deux actrices de ce film sont d'ailleurs reparties du Festival de l'Alpe d'Huez avec le prix d’interprétation féminine : Hélène Vincent et Juliette Gasquet. Une très belle consécration pour la jeune femme qui avait accordé quelques mots au magazine Orléans à propos de sa carrière dans le cinéma.

"J’ai voulu découvrir plusieurs facettes de ce métier très tôt, être multi-casquette et avoir plusieurs cordes à mon arc. J’ai été assistante à la mise en scène, notamment sur les films Quai d’Orsay et Les Tuche 2. J’ai joué la comédie, j’ai fait de la régie. J’ai été coach pour enfants sur des tournages. J’ai fait des courts-métrages… Tous ces postes m’ont appris des choses qui aujourd’hui sont hyper nécessaires pour ma future carrière de réalisatrice. La réalisation est une évidence pour moi, c’est là où je me sens le plus à ma place. Lorsque j’écris et que je réalise, je me sens légitime. J’ai aussi envie de jouer, mais je crois que plus j’écris, plus j’ai envie de jouer des projets qui sont exigeants dans l’écriture, et dans mon univers", avait-elle déclaré. Une femme multi-casquettes à qui le 7ème art lui a déjà tiré son chapeau.