Kate Beckinsale, 41 ans : Au top, décolletée et sculpturale

Du haut de ses 41 ans, Kate Beckinsale est tranquillement en train de s'installer confortablement dans la shortlist des plus belles quadragénaires hollywoodiennes. Vedette de la Battersea Power Station Global Launch Party qui se tenait à West Hollywood le jeudi 6 novembre, la sublime star d'Underworld n'a pas manqué d'impressionner son petit monde à son arrivée sur le red carpet. Vêtue d'une robe blanche rayonnante, la comédienne et chérie du réalisateur Len Wiseman (absent par ailleurs) offrait un décolleté pour le moins sexy et une allure très tonique.

Après avoir brillé au milieu des starlettes Selena Gomez et Cara Delevingne lors du dernier LACMA, la bombe britannique mettait en avant sa poitrine, mais également une silhouette parfaite et des courbes éblouissantes. Attachant ses cheveux pour laisser à nu un cou sur lequel trônait un collier tour de cou en or, Kate avait de quoi faire crépiter les flashs. Juchée des talons Louboutin couleur chair, la maman de Lily Lo Sheen (fille de Michael Sheen) a réussi une soirée parfaite, braquant au passage les projecteurs sur la raison pour laquelle la star était présente : défendre le re-développement de la Battersea Power Station, une des premières grandes centrales électriques au charbon d'Angleterre classée depuis quelques années monument historique. C'est aujourd'hui un consortium malaisien qui, pour la somme de pour 520 millions de livres, a pris l'avenir de ce site de 16 hectares entre ses mains, avec la volonté d'y construite un hôtel de luxe, des logements et un centre commercial.

Outre cet engagement pour un lieu historique qu'elle connaît bien, Kate Beckinsale a une actualité chargée. Outre le retour d'Underworld dans une version petite lucarne, la jolie Kate sera prochainement à l'affiche du thriller Stonehearst Asylum mais aussi du drama The Face of an Angel avec justement Cara Delevingne. Elle a également mis en boîte Absolutely Nothing dans lequel jouait Robin Williams, et tourne actuellement The Disappointments Room sur un scénario de Wentworth Miller.