L’année 2024 a été particulièrement rude pour Kate Middleton. Discrète sur le mal qu’elle combattait en secret, l’épouse du prince William restait dans le silence même après l’annonce, le 16 janvier 2024, d’une "intervention chirurgicale abdominale programmée". Par la suite, une photo retouchée et publiée sur Instagram à l’occasion de la fête des Mères avait mis le feu aux poudres, et Kate Middleton a alors pu lire tout et n’importe quoi à son sujet. Les plus folles théories sont nées avant que la vérité ne soit révélée. Kate Middleton était touchée par le cancer. C’est dans une vidéo, datant du 22 mars 2024, qu’elle a finalement tout dit.
La mère de George, Charlotte et Louis a par la suite lutté de longs mois contre la maladie. Le 14 janvier 2025, près d’un an après son opération qui a permis de déceler son cancer, c’est lors d’une visite au Royal Marsden que Kate Middleton a annoncé être officiellement en rémission. Un long parcours du combattant durant lequel le prince William avait envisagé le pire.
Le journaliste Bertrand Deckers a fait d’incroyables révélations dans Kate, le jour où..., à paraître le 11 juin prochain aux éditions Fayard. Il a ainsi révélé qu’en avril 2024, le prince William avait dû prévoir les obsèques de la princesse de Galles au cas où son cancer l’emporterait.
L’expert de la royauté, en lien avec des sources proches du Palais, se souvient avoir, un soir, reçu une surprenante information : "Breaking news à te communiquer : nom de code vient d’être attribué par Buckingham Palace pour préparation funérailles de Kate, au cas où..." La famille royale britannique se préparait au pire. Bertrand Deckers avait par la suite reçu le nom de code : "O.R.B. : Operation Reading Bridge. Choix de William !" Ce nom n’a pas du tout été choisi au hasard et est très symbolique pour le prince William, comme l’explique le journaliste.
"Reading de la ville du Berkshire où est née Kate, le 9 janvier 1982. Et la contraction de ce nom de code, “O.R.B.”, désigne l’un des joyaux les plus symboliques de la tour de Londres, le globe surmonté d’une croix [l’orbe crucigère, NDLR.], représentation de la Terre dominée par Dieu, qui est posée dans la main gauche de tout souverain, le jour de son couronnement". Le journaliste n’hésite pas à voir en cela une "déclaration d’amour" ou presque. Fort heureusement, ce scénario catastrophe n’a pas eu lieu. Pour information, cette pratique est courante au sein de la famille royale. Pour la reine Elizabeth II, partie le 8 septembre 2022, le nom de code était alors "Operation London Bridge".
En novembre dernier, lors d’un déplacement en Afrique du Sud, le prince William avait déclaré être "très fier" de sa femme, ainsi que de son père, le roi Charles III, également atteint d’un cancer la même année que son épouse. L’année 2024 a été particulièrement éprouvante pour la famille royale britannique, mais elle en est ressortie plus forte.
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