La nouvelle vient de tomber et promet de faire beaucoup de bruit. Selon le magazine Elle, Jean Imbert vient d’être visé par une plainte déposée par une de ses quatre ex-compagnes qui avaient témoigné pour nos confrères le 23 avril dernier. Elles avaient alors toutes évoqué des faits de violences physiques et psychologiques perpétrés par le chef du Relais Plaza. Soutenu par son actuelle compagne, Jean Imbert a toujours clamé son innocence.
Lila Salet, ancienne actrice de 33 ans devenue cheffe d’entreprise, faisait partie de ces femmes. Décidant alors de ne pas s’arrêter à un simple témoignage, elle a déposé plainte le 23 août pour violences conjugales et séquestration, d’après nos confrères. Elle dénonce des faits qui se seraient déroulés entre 2012 et 2013.
La plainte revient alors sur leur "relation marquée par des disputes et des pressions psychologiques constantes". Elle y évoque également le fait que Jean Imbert cherchait constamment à surveiller ses messages, critiquant ses relations passées tout en l’insultant sur sa manière de s’habiller "comme une pute", d’après la plainte.
En plus des violences psychologiques qu’elle dit avoir subies, elle a ajouté qu'il ne supportait pas qu’elle le laisse seul et qu'il pouvait s’en prendre "à la vaisselle ou au mobilier" et même frapper "les murs qui se retrouvaient marqués de trous". Elle est également revenue sur les gifles qu’elle avait pu recevoir durant leur relation.
Lila Salet a replongé dans son passé, expliquant de nouveau les épisodes traumatisants qu’elle a pu traverser auprès de Jean Imbert et qu’elle avait déjà détaillés auprès du magazine Elle, comme ce week-end à Florence en janvier 2013 durant lequel Jean Imbert l’aurait frappée avant de lui verser du champagne dans les yeux, refusant de la laisser sortir de sa chambre après un simple SMS reçu d’un ami. Lila Salet avait déjà déposé plainte à l'époque suite à un épisode de colère de Jeam Imbert durant lequel il avait fait irruption en pleine nuit dans son appartement à Paris, avant de retirer sa plainte “pour ne pas nuire à sa carrière”, comme elle avait pu l'expliquer.
En ce qui concerne la nouvelle plainte de Lila Salet, si les faits de violences conjugales ont un délai de prescription de 6 ans, la séquestration n’est quant à elle prescrite qu’au bout de 20 ans. Cependant, la justice peut malgré tout ouvrir une enquête sur des faits prescrits afin de pouvoir trouver d’éventuelles autres victimes plus récentes. On pense notamment à Miss France 2006.
Ancienne petite amie de Jean Imbert, Alexandra Rosenfeld, a avoué sur son compte Instagram avoir fait partie des femmes qui ont témoigné contre son ex. C’est sous le nom d’Éléonore qu’elle avait pu livrer son récit avant de finalement dévoiler son identité.
Elle était alors notamment revenue sur le nez que lui aurait fracturé Jean Imbert durant leur relation. Cependant, lors de son témoignage en tant qu'Eléonore pour le magazine ELLE, de nombreux éléments à décharge avaient été fournis par la communication de Jean Imbert.
Jean Imbert reste présumé innocent des faits qui lui sont reprochés jusqu’au jugement de cette affaire.
player2
player2
player2