Sans mon jet, je ne suis rien
Tels sont les mots qui aident à mieux comprendre le tapage médiatique déclenché par Christian, le milliardaire belge qui a perdu le code de démarrage de son jet. Pour ce nouveau people qui s'habille comme il se déguise, la vie est un jeu, et le monde sa cour de récréation.
Avec " Air Christian One ", son jet privé, il laissait libre cours à son imagination pour vivre les aventures les plus folles, les plus extravagantes : ses " Breaks " comme il les appelle. Chaque jour, il s'inventait un programme digne d'un scenario hollywoodien : petit déjeuner au sommet de l'Empire State Building, footing en raquettes au milieu des ours polaires, barbecue dans le cratère du Kilimandjaro, descente en Bobsleigh de la muraille de Chine et sushi en amoureux sur le mont Fuji...
Tel était son univers avant le drame survenu la semaine dernière lors d'une balade dans la fabrique Kit Kat qu'il tenait absolument à visiter. L'histoire dit qu'un coup de vent serait à l'origine de la perte de son code. Il le tendait à son co-pilote Hubert qui devait déplacer le jet quand le précieux sésame est tombé dans l'une des machines.
Depuis, c'est la déprime et la course pour retrouver sa vie " à la Christian ". Campagne de pub à l'appui, il demande à tous de l'aider. Selon lui, son code serait dans un Kit Kat quelque part en France. En récompense il nous promet le " Break Ultime ", 100 000 E pour vivre notre rêve avec son jet. Bien décidés à lui venir en aide, nous on a déjà commencé à chercher, ne serait-ce que pour lui redonner le sourire ! Et vous ?
