Aujourd'hui en couple avec Inès de Ramon, Brad Pitt a longtemps partagé la vie d'Angelina Jolie. Ensemble, les deux acteurs ont acheté le domaine de Miraval, situé dans le sud de la France, en 2008. Ils ont ensuite célébré leur mariage sur place en 2014, avant de finalement se séparer à peine deux ans plus tard. Si Brad Pitt a conservé ses parts du château de Miraval, Angelina Jolie a préféré revendre les siennes. Interrogés au sujet de l'acteur américain par l'Informé, d'anciens employés du domaine situé dans le Var se sont montrés dithyrambique à son sujet. "Brad Pitt est toujours très bienveillant avec les équipes quand il vient. Et lorsqu'il est là, le directeur général est doux comme un agneau", a notamment déclaré un ex-salarié.
Cependant, le comportement du directeur général, Roland Venturini, serait radicalement différent lorsque Brad Pitt ne séjourne pas dans sa propriété. "J'arrivais avec la boule au ventre mais je m'accrochais car c'était le job de mes rêves. Au bout de quelques mois, ma mère m'a supplié de quitter Miraval car j'étais en dépression et j'avais pris 15 kg. Je suis parti à contrecœur, détruit", a notamment assuré un ancien majordome. Selon plusieurs anciens employés, Roland Venturini exercerait une pression "démesurée" sur le personnel. Ils ont notamment dénoncé sa brutalité verbale. "J'étais angoissé, stressé, avec la boule au ventre du matin au soir. J'ai pourtant travaillé dans le tourisme, dans de grands hôtels, avec des directeurs exigeants, mais je n'avais jamais connu un tel manque de respect", a ajouté un autre ancien majordome ayant travaillé au château de Miraval.
© Abaca
"Il a des accès de colère, il est grossier, et il s'emporte pour des détails, comme un torchon qui traîne à côté du four". "Un jour, il m'a hurlé dessus car j'avais oublié d'enlever un paquet de chips du buffet". "Certaines filles sursautaient quand elles entendaient quelqu'un arriver, craignant que ce soit lui", ont aussi relaté d'autres anciens employés. Questionné à ce sujet par l'Informé, Roland Venturini "conteste catégoriquement" les accusations dont il fait l'objet. "Si on veut assurer un service 5 étoiles, et avoir un établissement à la hauteur des investissements énormes réalisés depuis douze ans, on ne peut pas avoir des employés qui ne suivent pas le niveau de service. Il faut donc que les salariés partagent cette vision et soient prêts à s'investir, sinon, je leur explique que ce n'est juste pas le bon établissement pour eux. Je respecte les employés, et le fait qu'on veuille être serveur dans un petit restaurant ou un café. Mais il ne faut pas nous rejeter la faute de la pression qu'implique de travailler à Miraval", a ainsi déclaré le directeur général du château de Miraval, qui est soutenu par des employés encore en poste actuellement.