Bruno Guillon, sa maison mise à sac mais il n'est pas le seul : un des malfrats avait visé la demeure d'une autre personnalité

Visage emblématique du paysage audiovisuel français, Bruno Guillon est aux commandes de trois émissions quotidiennes cette saison. Il présente ainsi la matinale de Fun Radio, mais aussi le jeu Chacun son tour sur France 2, ainsi que l'émission baptisée Tout le monde à son mot dire, où il remplace Olivier Minne aux côtés de Sidonie Bonnec. Il y a maintenant deux ans, l'animateur a vécu une expérience particulièrement traumatisante. Il avait été victime d'un cambriolage particulièrement violent chez lui en pleine nuit à Tessancourt-sur-Aubette. Une commune des Yvelines situé à 40 kilomètres de Paris. Pas moins de quatre personnes se sont introduites dans son domicile lorsqu'il dormait aux alentours de 3h40 du matin. 

Bruno Guillon avait ainsi été séquestré avec sa femme Marion et son fils Anatole, âgé de 14 ans au moment des faits. En fait, les cambrioleurs étaient rentrées par effraction en brisant la fenêtre d'une chambre d'amis située au rez-de-chaussée de la maison. Durant ce home-jacking, le présentateur fut menacé à l'aide d'une arme de poing et d'un marteau, tandis que son épouse avait été ligotée et bâillonnée. Au final, les voleurs avaient réussi à dérober des montres, des bijoux et des sacs de luxe, avant de prendre la fuite. Par la suite, sept personnes ont été mises en cause par la justice dans cette affaire. Selon les récentes informations dévoilées par Le Parisien, l'un des braqueurs de Bruno Guillon avait donné l'ordre un mois plus tôt de procéder au cambriolage du domicile de Gabrielle Eymard, une entrepreneuse dans le domaine des cosmétiques très présente sur les réseaux sociaux.

Déjà condamné à une peine de six ans d’emprisonnement au mois de janvier 2025 pour son implication dans le home-jacking de Bruno Guillon, l'individu en question était présent dans le box des accusés du tribunal correctionnel de Nanterre le mardi 23 septembre 2025. Ce jour-là, il a été condamné à 4 ans et demi de prison pour avoir donné l'ordre de cambrioler le domicile de Gabrielle Eymard. Cette dernière ne s’est d'ailleurs pas présentée à l’audience.

 De son côté, le prévenu accusé d'avoir pénétré par effraction dans la maison de l'entrepreneuse à écopé de 3 ans et demi de prison, dont 18 mois de sursis probatoire. Les sept mois restants de sa peine seront aménagés sous bracelet électronique.