Pascal Elbé avec ses fils au Stade de France durant les attaques : Son émotion

L'acteur et réalisateur Pascal Elbé était au côté de l'écrivain et scénariste Amanda Sthers, rue du Faubourg-Saint-Honoré dans le 8e arrondissement, le jeudi 26 novembre. Ils ont participé à la soirée "Winter Time" ainsi qu'à la superbe illumination de la rue, sous des lustres magiques signés Baccarat. Une fois le froid affronté, ils ont rejoint le cocktail au sein du prestigieux Bristol pour la Tombola Winter Time 2015. De quoi ravir Benjamin Cymerman (président du Comité du Faubourg-Saint-Honoré) et Jeanne d'Hauteserre (maire du 8e arrondissement) en cette soirée placée sous le signe des lumières et de la générosité. Une ambiance chic pour un dessein noble ! Purepeople a pu rencontrer Pascal Elbé pour un entretien placé sous le signe de l'émotion.

En effet, la Tombola Winter Time 2015, organisée par le Comité du Faubourg-Saint-Honoré et dont Pascal Elbé est le parrain, avait été décalée dans un premier temps en raison des attaques terroristes et du deuil qui a suivi. Les organisateurs ont décidé que l'intégralité des bénéfices serait reversée à non pas une, mais deux organisations caritatives : Les Toiles enchantées, mais également Paris Aide aux Victimes (PAV), qui vient en aide aux victimes de Paris depuis 1989.

Ce 13 novembre, Pascal Elbé était au Stade de France avec ses fils - tout comme Amanda Sthers - et a donc vécu de près une partie des attaques. Il est en effet papa de Léo, 14 ans, Hugo, 25 ans et Alex, 28 ans, selon Paris Match. Le héros de Mauvaise Foi nous confie son choc, comment il a pu faire face à cette situation, réussissant à rentrer chez lui sain et sauf avec sa famille, grâce à la solidarité de personnes qui l'ont pris dans leur voiture. Il fait part de son indignation et de sa colère. L'interview ayant été réalisée avant le premier tour des élections régionales, il ne fait donc pas part de son avis sur les résultats.

Comme beaucoup, Pascal Elbé veut, malgré le drame, continuer de vivre et avancer - en tant qu'artiste, mais aussi tout simplement comme citoyen. Le réalisateur de Je compte sur vous (en salles le 30 décembre) se rappelle la force du cinéma et de ses premiers souvenirs d'enfance dans une salle obscure.