





L'enquête visant à déterminer les causes de la mort du petit Emile se poursuit. Pour rappel, ce jeune garçonnet âgé de seulement deux ans et demi avait disparu sans laisser de traces le samedi 8 juillet 2025. Ce jour-là, il se trouvait en vacances chez ses grands-parents dans le hameau du Haut-Vernet, lorsqu'il a échappé à leur vigilance. Après que ses proches aient échoué à le retrouver, les autorités ont pris le relais en déployant des moyens humains et logistiques considérables. Malheureusement, l'enfant est toujours resté introuvable jusqu'au 30 mars 2024. En effet, neuf mois après la disparition d'Emile, une randonneuse a découvert par hasard ses ossements à proximité du Haut-Vernet. Les autorités ont ainsi fouillé la zone, ce qui leur a permis de découvrir d'autres ossements du petit garçon, ainsi que les vêtement qu'il portait le jour de sa disparition.
Après des analyses scientifiques très poussées pour tenter de mettre en lumière les circonstances qui ont mené au décès de l'enfant, sa dépouille a été rendue à sa famille. Ses parents ont ainsi pu lui offrir une sépulture en organisant des obsèques le samedi 8 février 2025 en la basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, dans le Var. Pour évoquer cette affaire, la journaliste Aurélie Casse a reçu plusieurs invités sur le plateau de l'émission C l'hebdo, diffusée le samedi 22 mars 2025 sur France 5. Au cours du programme, un journaliste officiant pour l'hebdomadaire Marianne a fait une révélation sur la famille de la victime. "La famille du petit Emile, elle est plus ou moins détestée dans le village. Parce qu'il y a eu tout un tas de rivalités, ils sont souvent là, ils sont nombreux, ils sont bruyants, ils sont mal intégrés", a-t-il ainsi été dévoilé.

De son côté, le général François Daoust a été interrogé concernant l'hypothèse "désormais fort probable" d'une intervention humaine dans la mort du petit Emile. "Il y a des gradations. L'opportunité de faire un crime, c'est la plus faible. C'est-à-dire que l'enfant est arrivé la veille, ça se prépare. Ça peut être un crime d'opportunité. Un prédateur qui passe là et qui en profite. C'est plus faible, mais cela ne peut pas être négligé", a ainsi souligné l'ancien directeur de l'IRCGN. "Dans une enquête. Rien n'est négligé. Une intervention humaine. Ça suppose d'autres indices. Et la recherche d'indices et de témoignages. On est en plein dedans", a-t-il par ailleurs ajouté.