





Cela fait deux saisons que Stéphanie Le Quellec officie comme cheffe de brigade dans Top Chef. L'an passé, elle a même remporté le concours culinaire avec son candidat Jorick Dorignac. Et ce n'est pas la première fois qu'elle gagne ! En effet, en 2011, elle participait à l'émission comme candidate et en était alors déjà ressortie vainqueur. Et depuis, elle s'est fait une place au sein du milieu culinaire. Elle est même doublement étoilée ! La cuisine, c'est toute sa vie. Ainsi, chez elle, Stéphanie Le Quellec a fait fabriquer un élément sur mesure afin d'être certaine de pouvoir partager de bons repas avec les siens.
En mars dernier auprès de nos confrères de Gala, l'acolyte de Philippe Etchebest, Hélène Darroze, Paul Pairet et Glenn Viel s'est livrée sur différents sujets. L'occasion pour elle d'évoquer son emploi du temps très chargé entre ses restaurants, son rôle dans Top Chef mais aussi sa vie de famille. Car pour rappel, elle est mariée à David Le Quellec, pas inconnu dans le milieu, et ensemble le couple a trois enfants : Baptiste (21 ans), Maxime (19 ans) et Arthur (8 ans). Et malgré ses activités prenantes, elle met un point d'honneur à profiter de ses proches autour de ce qui la passionne : la cuisine. "Avec mon mari, je crois qu’on a acheté une maison de campagne juste pour recevoir les amis. Et à Paris, on a fait concevoir une cuisine où on peut tenir à 14 autour de la table. Ça peut juste être une planche de charcuterie et un vin pour nous réunir, déclare-t-elle. Mais c’est là que tout se passe et s’échange, y compris avec les enfants. Avec David, on s’est rencontrés en cuisine et, rapidement, toute notre vie a tourné autour d’elle et de ses dérivés. Quand on voyage, on se demande quel marché faire, quelle table visiter…"
Cette envie de rassembler tout le monde autour de la table lui vient de son enfance. "Ma mère était commerçante, mon père, cadre dans l’informatique et ils venaient d’un milieu modeste. Mais chez eux, oui, il y avait une tradition du 'bien manger', assure celle qui regrettait de n'être plus invitée nulle part. À Noël ou pour un anniversaire, ma mère recevait entre 20 et 25 personnes dans un appartement de 70 mètres carrés. On poussait les meubles. Elle se décarcassait pour faire des menus à rallonge. Et puis, il y avait cette culture des apéros qui traînent, de la convivialité… Du 'si tu passes, tu restes manger'." Un héritage qu'elle garde précieusement et compte bien transmettre à ses trois garçons. L'un d'entre eux suit même déjà son chemin : "Baptiste, l’aîné, 21 ans, après du droit à Assas pour me faire plaisir, est finalement… barman, et Maxime, 19 ans, est pâtissier. Arthur, voudrait l’être aussi."