Ce mercredi 18 juin sort au cinéma The Return, le retour d'Ulysse, un film qui met met en vedette Ralph Fiennes et Juliette Binoche, et qui est un récit de l’Odyssée d'Homère par Edward Bond, John Collee et Uberto Pasolini. Il est présenté au festival international du film de Toronto 2024.
Le synopsis : De retour de la guerre de Troie après 20 ans d’absence, Ulysse échoue sur les côtes d’Ithaque, son ancien royaume. Sa femme Pénélope, restée fidèle, y vit prisonnière de sa propre demeure, repoussant tous les prétendants à la couronne. Télémaque, leur fils, qui n’a jamais connu son père, devient lui un obstacle pour ceux qui veulent s’emparer du pouvoir.
Ce mardi, Juliette Binoche est venue parler de ce film sur le plateau de C à Vous. "Télémaque n'a jamais vraiment connu son père, il est malheureux. Il a envie de connaitre son père. Il part, il revient, et puis il a des nouvelles de son père qui sont assez mauvaises, puisqu'il était plutôt volage, il a vécu plein d'aventures (...) A la fin, quand le père revient, je ne vous en dit pas plus, mais le fils part...", a-t-elle alors déclaré.
"Bah vous l'avez dit...", lui a alors fait savoir Anne-Elisabeth Lemoine, en chuchotant. De quoi gêner son invitée, qui a alors pris conscience de son erreur : "Mince !", a-t-elle lâché, avant de se rattraper : "Mais c'est tout le chemin qui est important !" S'agit-il vraiment d'un "spoil" de la part de la maman d'Raphaël et Hannah ? Il faudra elle voir le film pour le savoir...En tout cas, ce que l'on remarque, c'est que les rôles s'inversent puisque les téléspectateurs ont l'habitude depuis plusieurs années déjà à ce que ce soit la plupart du temps Babeth à l'origine des gaffes dans l'émission. Mais c'est également ce qui fait tout son charme !
Juliette Binoche, elle, s'est également remarquée pour sa maladresse, mais dans un regsitre différent. C'était le 13 mai dernier, lors du coup d'envoi de la 78e édition du Festival de Cannes, qu'elle présidait. Au moment de son discours, tout ne s'est pas passé comme prévu... "Les otages du 7 octobre et tous les otages, les prisonniers, qui endurent la douleur et meurent dans un terrible sentiment d'abandon et d'indifférence. Contre l'immensité de cette tempête, nous devons faire naître la douceur, transformer nos visions fragmentées en confiance retrouvée. Guérir notre ignorance et lâcher nos peurs, notre égoïsme, changer de cap et face à l'orgueil redonner de l'humidité...", a-t-elle déclaré. Sauf que ce n'est pas le mot "humidité" qu'elle cherchait à dire mais "humilité"...
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