Un nouveau rebondissement a eu lieu dans l’affaire de l’héritage d’Alain Delon. Alors que dans un testament, l’acteur disparu il y a un peu plus d’un an maintenant affirmait léguer la moitié de son héritage à sa fille Anouchka et l’autre moitié à diviser en deux entre Anthony et Alain-Fabien, les frères et la sœur semblaient plutôt d’accord sur le fait de ne pas discuter cette décision prise par leur père. Néanmoins, il semblerait que les choses aient changé depuis qu’Alain-Fabien Delon, qui se fait désormais appeler Alain Delon Jr) a attaqué en justice Anouchka et Anthony, ainsi que les exécuteurs testamentaires afin de faire annuler les testaments.
Cette décision est a priori justifiée par le fait que selon Alain-Fabien, à l’époque où les testament ont été rédigés, Alain Delon ne possédait pas le discernement nécessaire pour être véritablement conscient de ce qui était en train de se jouer. À noter que si Anthony Delon est plongé malgré lui dans la spirale par Alain-Fabien, “c'est parce que la loi impose, lorsqu'on remet en cause un testament, d'agir contre tous les héritiers et les exécuteurs testamentaires. Alain-Fabien assigne donc Anouchka, Anthony ainsi que l'exécuteur testamentaire d'Alain Delon (maître Christophe Ayela), sa gestionnaire de fortune et son notaire à Genève" comme l’expliquait Le Parisien.
Comme l'a révélé une source au magazine Voici en kiosque ce vendredi 5 septembre, “c’est un retournement de situation incompréhensible. Tout le monde s’était mis d’accord sur l’héritage, Anthony et Anouchka ne comprennent pas du tout pourquoi leur frère fait ça.”
Pour certains, cette action tombe à pic pour lui faire de la publicité : “Il sort un livre en novembre [La personne de confiance publié aux éditions Flammarion, ndlr], alors cette plainte, c’est un moyen de préparer la promo et d’occuper le terrain. Mais tout ça donne une image pathétique de la famille.”
Une réunion avait eu lieu pour tenter de trouver une solution après cette annonce. Entrevue dont Paris Match avait obtenu quelques informations. On apprenait notamment que “sa motivation n’était nullement pécuniaire” mais que l’idée de ne pas avoir son mot à dire sur tous les projets qui pourraient toucher à l’image de son père (Anouchka a entièrement hérité du droit moral, ndlr) avait fait changer d’avis celui qui est désormais père d’une petite fille prénommée Romy.
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