C'est une déclaration bouleversante, publiée dans les pages du Journal du dimanche, que François Florent, professeur de théâtre et fondateur du Cours Florent, a fait à celle qui fut son élève, Valérie Benguigui. La comédienne nous a quittés le 2 septembre dernier, emportée par un cancer du sein à l'âge de 47 ans. La pluie d'hommages se poursuit avec les mots de celui qui l'a accueillie au sein du Cours Florent, alors qu'elle avait 24 ans.
"Sa présence me sautait à la gueule. [...] Elle n'a jamais fait de progrès. Tout était déjà contenu en elle." Phrases fortes et intimes se suivent dans cet éloge à Valérie Benguigui, mené par un homme qui l'a si bien connue. François Florent faisait partie de ceux pour qui le César du meilleur second rôle pour Le Prénom qu'elle a reçu au mois de février était une évidence, la reconnaissance par la profession d'un talent déjà maintes fois montré à la télévision, au théâtre et au cinéma. "Jusqu'à avant sa maladie, nous avons continué à nous voir. Elle participait aux jurys de l'école. Très peu de comédiens m'ont procuré un tel souvenir d'immédiateté. [...] Elle ne possédait certes pas une beauté hollywoodienne, mais était dotée d'un charme incroyable. [...] Elle ne se montait pas le bourrichon."
Avec franchise, il décrit une femme forte et passionnée, dont la beauté ne réside pas seulement dans sa photogénie mais dans ses innombrables facettes d'actrice et son charme incroyable. C'est alors que François Florent compare Valérie Benguigui à Isabelle Adjani : "Elle était l'inverse d'Isabelle Adjani, qui a joué les ingénues avant d'aller contre elle-même, enferrée dans des difficultés psychologiques. Valérie était si saine dans sa vie qu'elle aurait pu accueillir tous les rôles." Il dira alors qu'elle aurait pu jouer celui de la femme de DSK dans le film d'Abel Ferrara (Welcome to New York avec Gérard Depardieu et Jacqueline Bisset) : "Pas uniquement parce qu'elle était une actrice populaire, mais parce qu'elle pouvait délivrer ce genre de regard de sournois qui vous ramène à la vie."
Valérie Benguigui était programmée pour une longue carrière, pense l'homme de théâtre. Une réflexion partagée par tout le monde du spectacle. Elle était la femme chérie depuis plus de vingt-cinq ans d'Eric Wapler, maman de deux adolescents qui lui ont dit adieu le 6 septembre au cimetière du Montparnasse.
"Sa présence me sautait à la gueule. [...] Elle n'a jamais fait de progrès. Tout était déjà contenu en elle." Phrases fortes et intimes se suivent dans cet éloge à Valérie Benguigui, mené par un homme qui l'a si bien connue. François Florent faisait partie de ceux pour qui le César du meilleur second rôle pour Le Prénom qu'elle a reçu au mois de février était une évidence, la reconnaissance par la profession d'un talent déjà maintes fois montré à la télévision, au théâtre et au cinéma. "Jusqu'à avant sa maladie, nous avons continué à nous voir. Elle participait aux jurys de l'école. Très peu de comédiens m'ont procuré un tel souvenir d'immédiateté. [...] Elle ne possédait certes pas une beauté hollywoodienne, mais était dotée d'un charme incroyable. [...] Elle ne se montait pas le bourrichon."
Avec franchise, il décrit une femme forte et passionnée, dont la beauté ne réside pas seulement dans sa photogénie mais dans ses innombrables facettes d'actrice et son charme incroyable. C'est alors que François Florent compare Valérie Benguigui à Isabelle Adjani : "Elle était l'inverse d'Isabelle Adjani, qui a joué les ingénues avant d'aller contre elle-même, enferrée dans des difficultés psychologiques. Valérie était si saine dans sa vie qu'elle aurait pu accueillir tous les rôles." Il dira alors qu'elle aurait pu jouer celui de la femme de DSK dans le film d'Abel Ferrara (Welcome to New York avec Gérard Depardieu et Jacqueline Bisset) : "Pas uniquement parce qu'elle était une actrice populaire, mais parce qu'elle pouvait délivrer ce genre de regard de sournois qui vous ramène à la vie."
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