






Emission riche en émotions pour Léa Salamé hier soir ! Le numéro du samedi 1er mars 2025 de Quelle époque ! a été marquée en premier lieu par les explications de Christophe Dechavanne sur sa mise en retrait de l'émission de France 2 confirmée un peu plus tôt dans la semaine par France Télévisions à l'AFP. Celle-ci fait suite à la condamnation de l'animateur, le 20 février par le tribunal de Moulins, pour conduite sous l'emprise de stupéfiants en récidive - jugement dont il a fait appel.
Léa Salamé était également très heureuse de recevoir une personnalité qu'elle n'avait encore jamais eue sur le plateau de Quelle époque ! et qu'elle affectionne tout particulièrement. Il s'agit de Fabrice Luchini. L'acteur est à l'affiche mercredi prochain du Secret de Khéops, de et avec Barbara Schulz. De plus, Fabrice Luchini Lit Victor Hugo au Théâtre de la Porte Saint-Martin. Il reprend ces lecteurs à partir du 23 mars prochain jusqu'au 28 avril.
Au cours de l'émission, l'acteur et grand nom du théâtre français a fait savoir que son quotidien était quelque peu perturbé ces derniers temps, s'en vouloir s'en affoler. Comme 15 à 20% des Français, Fabrice Luchini souffre d'insomnies et malgré les prescriptions, cela ne passe pas. "Ca fait 8 jours que je ne dors pas", a-t-il lancé à David Pujadas, autre invité de Quelle époque ! hier soir, qui l'interrogeait sur ses inconforts du quotidien. "Je ne vais pas en faire un drame (...) Je suis insomniaque, c'est chiant. On me file des médicaments, ça ne marche pas", a-t-il ajouté.
Ce mal, Fabrice Luchini n'est pas le seul à le traverser puisque selon l'INSERM, 15 à 20% des Français sont concernés. Parmi eux, plusieurs personnalités. En janvier dernier, Bernard-Henri Lévy se confiait sur le sujet. Pour le philosophe marié depuis 1993 à l’artiste Arielle Dombasle et qui a récemment publié un ouvrage intitulé Nuit Blanche, son insomnie trouve sa source dans son enfance et s'est accélérée durant l’adolescence. Selon lui, il n’arriverait pas à dormir car il est en “incapacité de lâcher prise”, racontait-il au Parisien. “Je m’émerveille de voir des gens qui dorment naturellement”, ajoutait-il. Pour vaincre son l’insomnie, Bernard-Henri Lévy a tenté un panel large de soins. “Je crois avoir essayé toutes les techniques, toutes les machines, tous les remèdes, tous les instituts du sommeil possible. Et rien n’a marché”, regrettait-il, lui qui refuse les somnifères parce qu’ils le privent “du plaisir voluptueux, qu’il avait autrefois, à franchir les portes du sommeil dans un sens comme dans l’autre”.