La série Validé est de retour sur Canal +ce lundi 17 novembre 2025 avec sa saison 3 ! Au casting notamment Franck Gastambide, co-créateur et qui joue le rôle de Rôle : Sno.
Sur TikTok, l'acteur de 47 ans s’est livré à une confession inattendue, révélant un véritable envahissement de baskets dans son quotidien. Posées en un immense lot sur le sol, ces chaussures témoignent d’une accumulation qui n’est pas seulement matérielle, mais intime. Il confie : "En faisant du tri chez moi, je me suis rendu compte que j'ai autant de baskets et elles ne sont pas toutes là, ce n'est pas très normal. Ce n'est pas très normal parce que c'est dû à des traumatismes de quand t'étais ado et que t'avais une paire par an que tu défonçais, que t'avais honte après. Et quand tu commences à avoir de l'argent, tu combles ce manque que t'as eu quand t'étais ado et puis t'en prends plein, plein, plein !"
Aujourd’hui libéré de ses fantômes d’adolescence, il poursuit avec générosité : "Donc moi, j'ai libéré un peu ce trauma d'ado qui me manquait et surtout je veux offrir toutes ces baskets à des gens qui en ont besoin. Donc mettez-moi un lien s'il vous plaît, à Paris, où est-ce que je peux déposer plein de baskets pour les gens qui en ont besoin." Une initiative simple mais touchante, capable d’apporter de la joie à ceux qui en ont le plus besoin.
Il y a deux ans, dans 20h30 sur France 2, Franck Gastambide racontait déjà son parcours semé d’embûches et de difficultés : "J'ai passé mes vingt ans avec mes pitbulls, à, oui, côtoyer la difficulté et la misère. [...] La majorité de ma vie, c'est ça. Ce sont des petits boulots d'un mec qui n'a pas de diplôme parce qu'il est dyslexique. Et sans diplôme, on n'a pas accès à de bons métiers, donc je faisais ce que je pouvais."
Ancien dresseur, ce sont finalement les animaux qui vont ouvrir la porte de sa réussite. À la question de Laurent Delahousse : "Parce que vous étiez dresseur, et donc, sur un film, vous allez vous retrouver avec Mathieu Kassovitz et Jean Reno ?", l'ex compagnon de Sabrina Ouazani répondait avec une simplicité touchante : "Et, oui, les animaux, ça sauve ma vie.". Aujourd'hui, entre ses baskets et ses souvenirs d’adolescent, Franck Gastambide transforme ce qui fut un manque en générosité, prouvant que parfois, offrir ce que l’on a en surplus, c’est aussi libérer un peu de soi-même.
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