"Ils sont incroyablement déconnectés de la réalité" : Kate et William vivement critiqués par une célèbre association, un député prend leur défense

Kate Middleton et le prince William sont, une fois encore, sous le feu des critiques. Après avoir annulé sa venue en dernière minute à Royal Ascot, dévoilant ainsi ses priorités dans un message rendu public, la princesse de Galles, qui est aujourd'hui en rémission et son époux, qui a trouvé une complicité avec une actrice, font face à de vives critiques. 

Cette fois-ci, il ne s'agit pas d'une absence à un événement majeur, mais d'un choix de vie. L’association britannique People for the Ethical Treatment of Animals (Peta), qui œuvre pour le bien-être des petites bêtes, pointe du doigt le fait que le couple royal n'adopte pas d'animaux de compagnie dans des refuges. Au contraire, ils viennent de faire une portée de chiots issues de la chienne de la famille, Orla.

Tout a commencé le samedi 21 juin dernier, lorsque le couple a publié une photo de leurs chiots. On découvre le prince William, qui vient de perdre un ami cher à ses yeux, embrassant l'un des bébés chiens. En légende, on peut lire : "Joyeux anniversaire ! Avec amour, C, G, C, L, Orla et les chiots".

L’association de défense des animaux a exprimé sa colère, déclarant que Kate et William étaient "incroyablement déconnectés de la réalité". L'organisme déplore le fait que les refuges animaliers soient remplis d'animaux abandonnés et que le couple royal ne montre pas l'exemple aux Britanniques. 

Elisa Allen, la vice-présidente des programmes de l'association, a déclaré : "Le prince et la princesse de Galles doivent savoir que les refuges ici et dans le monde entier regorgent de chiots désespérés dans l'attente d'une seconde chance dans un foyer aimant", avant de préciser : "produire une portée au milieu de cette crise du sans-abrisme animal est incroyablement déconnecté de la réalité".

Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette prise de parole audacieuse et engagée est loin de faire l'unanimité auprès des Britanniques. Le député Andrew Rosindell a notamment demandé à la Commission des œuvres caritatives de révoquer le statut d’organisme de bienfaisance de Peta.