Léa Seydoux, Pierre Arditi, Arielle Dombasle face au problème de la dette !

Avec des oeuvres comme Kadosh ou encore Kippour, Amos Gitaï s'est imposé comme un cinéaste israélien majeur. Le réalisateur, qui vient de dévoiler au mois d'octobre Carmel, ressurgit avec un film d'un autre genre et au casting flamboyant : Roses à crédit.

Amos Gitaï a choisi l'une des comédiennes les plus en vue et les plus vues du moment : Léa Seydoux. Au cinéma simultanément dans Belle Epine, Les Mystères de Lisbonne et Petit Tailleur, et prochainement dans Minuit à Paris de Woody Allen, la jeune actrice est manifestement une travailleuse acharnée. Elle n'a donc pas hésité à endosser le premier rôle de Roses à crédit.

Dans ce film qui se déroule dans l'après-Guerre, elle incarne Marjoline, une manucure qui épouse Daniel, jeune chercheur en horticulture. Cependant, elle se révèle être une acheteuse compulsive dont les dettes vont mettre en péril son bonheur.

Autour du duo principal formé par Léa Seydoux et Grégoire Leprince-Ringuet (qui a déjà joué avec Léa dans La Belle Personne) s'imposent Arielle Dombasle, Catherine Jacob, Pierre Arditi, Valeria Bruni-Tedeschi, Elsa Zylberstein, Ariane Ascaride ou encore Florence Thomassin. Découvrez sans plus attendre la bande-annonce !

A l'image de Carlos qui a été prévu pour le petit et le grand écran, Roses à crédit aura deux versions, une pour le grand écran et l'autre pour France 2. Amos Gitaï s'éloigne de terres de Palestine et d'Israël qu'il a souvent filmées pour planter le décor de Roses à crédit à Goussainville (Val-d'Oise). Son film est une adaptation d'un best-seller des années 1950 d'Elsa Triolet, dont le propos - le rapport entre les hommes et les objets de consommation - est pour le cinéaste d'une grande modernité.

Roses à crédit sera dans les salles dès le 15 décembre.