





Le vendredi 23 mai, ce n'est pas un mais deux candidats qui ont été démasqués dans le nouvel épisode de Mask Singer. Le public a ainsi appris que Philippe Candeloro se cachait derrière le costume du Fraisier tandis que Marie-Ange Nardi avait hérité de celui de la Dame de cœur. L'animatrice emblématique de Téléshopping sur TF1 est revenue sur cette expérience mémorable en interview pour Purepeople.com, ne cachant pas sa déception d'avoir quitté l'aventure.
Elle nous avoue aussi ne pas avoir vraiment su garder le secret de sa participation avec son mari de longue date Nicolas Antakis, un homme d'affaires avec qui elle est mariée depuis 1997, et avec qui elle a eu un fils, Hugo (21 ans).
Vous avez été démasquée dans Mask Singer vendredi dernier et vous n'avez pas caché être triste de quitter le programme…
Oui, j’étais un peu déçue parce que je commençais vraiment à me sentir plus à l'aise sur scène, à mieux maîtriser le costume, le masque et tout ça. Donc voilà un petit peu déçue parce que j’aurais voulu que ça dure encore un peu de temps et puis c’est un exercice particulier, c’est quand même une aventure hors norme de se retrouver sur une scène, à tenter de danser malgré le costume…
Qu’avez-vous pensé de votre costume justement, la Dame de cœur ?
C'est une œuvre d’art ce costume. En fait, on nous propose un catalogue avec différentes possibilités et celui-ci, je l’ai trouvé vraiment impressionnant et incroyable. Et j’ai compris que c’était un énorme travail de faire ce costume. Je suis admirative de ces concepteurs qui sont vraiment des artistes.
Qu’est-ce qui vous a fait accepter de rejoindre le jeu ?
C’est quand même une aventure hors-norme : je vais chanter, me mouvoir sur une scène, faire une chorégraphie dans des décors spectaculaires… Et c’est un challenge à titre privé, une expérience qu’on ne vit pas tous les jours donc ça aurait été dommage de la rater.
Appréhendiez vous d’aller sur scène pour chanter ?
Oui, j’appréhendais surtout le port du costume et le masque. C’est ça qui m’inquiétait le plus parce que je savais que ça allait être lourd et que ça peut rendre un peu claustrophobe. Et puis, on a envie aussi d’offrir un spectacle abouti.
Mask Singer est un programme très prenant, comment vous êtes vous organisé ?
C’est vrai que c’est impressionnant. J’ai participé à plusieurs émissions mais j’ai été impressionnée par tout ce qui se passe en amont, par la production et l’intendance, c’est un travail titanesque. Mais on se débrouille, je me suis libérée pour faire un peu de coaching vocal, pour essayer le costume, et j’ai réussi à gérer l’emploi du temps.
Comment avez-vous fait pour garder le secret, surtout vis-à-vis de votre fils Hugo (21 ans) et mari Nicolas Antakis ?
C’est totalement confidentiel donc effectivement, vous n’en parlez pas et vous gardez tout ça pour vous. Avec mon fils, c’était moins difficile parce qu’il fait ses études à l’étranger et donc il n’est pas là tout le temps. Et mon mari, finalement en approchant du terme j’ai fini par lui dire parce que de toute façon, il trouvait que je chantais beaucoup (rires). Je lui ai dit et puis ça fait du bien aussi de pouvoir se confier à quelqu’un sur l’appréhension, le stress et le trac.
Vous formez un couple avec votre mari depuis près de 25 ans. Il vous connaît forcément par cœur, alors était-il surpris d’apprendre que vous vous étiez lancée dans l’émission ?
Il n’était pas surpris non, il sait que j’aime assez le côté artistique et le théâtre. Je pense qu’il a trouvé ça logique. Mais j’ai été contente qu’il apprécie la prestation vocale !
Votre fils est parti vivre à l’étranger pour ses études, a-t-il pu suivre l'émission malgré tout ?
Il n’a pas vu en direct à la télé mais je lui ai envoyé après les vidéos et il m’a dit : 'C'est pas mal maman !'. Et un 'pas mal' de la part de notre fils ça fait super plaisir parce que les enfants sont souvent plus sévères quand même (rires).
Vous animez Téléshopping sur TF1 depuis 2008. Tout se passe toujours bien ?
Oui toujours très bien ! On a la chance d’être une bonne équipe à tous niveaux. Je travaille avec Alexandre Devoise avec qui on rit beaucoup, il se passe plein de choses sympas et de bons moments. Ca reste un plaisir d’aller au bureau.
Avec Alexandre Devoise, vous formez un duo complice et vous êtes amis en dehors des plateaux et même un peu voisins puisque vous habitez à 800m l’un de l’autre !
On a découvert ça par le plus grand des hasards quand on a commencé à animer Téléshopping. Et c’est vrai qu’on est devenus amis au fil du temps, on se voit en dehors et ça rajoute de la complicité dans l’animation.
Comment expliquez-vous le succès toujours intacte de Téléshopping ?
Je pense que justement, comme c’est un programme télé, ça apporte une touche de divertissement, d’accompagnement et puis la différence c’est que les produits sont montrés en démonstration. Donc vous voyez directement la manière dont vous allez les utiliser, ce qu’on ne peut pas avoir dans un magasin ou quand on commande. Nous on teste, on essaye de créer des situations comme dans la vie quotidienne. Et puis, j’espère qu’il y a la chaleur humaine qui apporte un plus.
Aimeriez-vous animer d’autres émissions ? Vous l’a-t-on déjà proposé ?
Non, on ne m’a rien proposé pour l’instant mais dans ce métier, on sait que tout peut se déclencher en une journée avec un appel. On verra bien ce que dit l’avenir.
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