Alexis Delidais

Le coup foudre avec les mots commence très tôt pour Alexis Delidais,
sûrement par la découverte de bibliothèque rose et verte de sa grand-
mère. Qu’il a lu assidûment dans les premières années de son enfance.
Ensuite il y eut un adultère. Et oui, le temps des chiffres était arrivé. Ils
ont flirté plusieurs étés, plusieurs hivers, le temps de quelques
équations par-ci, de quelques cours de trigonométrie par-là, le temps
de se retrouver devant l’autel d’un baccalauréat scientifique… Mais le
destin en fut autrement.
 
In extremis, il a retrouvé son premier amour, celui du verbe, de la
littérature, des poètes - les romantiques, les modernes, les classiques,
les décadents. Le choix est fait, il se lance et vogue vers les classes
préparatoires littéraires, satisfaire sa soif de philosophie, d’histoire et de
belles-lettres.
 
Depuis tout ce temps, il est passionné par le cinéma, américain surtout,
celui qui lui montre Los Angeles et les voyages dans l’espace. Il a un
pincement au cœur quand il pense à Robin Williams dont il connaît le
jour exact de la mort (le 11 août 2014) puisqu’il était lui-même en
vacances à Los Angeles ce jour-là, et il s’arrête de parler, admiratif, dès
qu’il voit Robert De Niro sur un écran. Tant de réalisateurs et d’acteurs
qui l’ont fasciné de son enfance à aujourd’hui, et qu’il aime regarder
chaque année, avec la même étincelle dans les yeux, défiler sur le tapis
rouge des Oscar.

Son émission préférée : Koh Lanta
Sa série préférée : Peaky blinders
Son film préféré : Drive
Son acteur préféré : Ryan Gosling
Son sport préféré : Le foot
Son sportif préféré : Roger Federer
Sa chanson préférée : In the air tonight
Son tableau préféré : Le voyageur contemplant une mer de nuages
Son livre préféré : Les frères Karamazov